Julie Gayet : après le cinéma, la politique ?

Julie Gayet : après le cinéma, la politique ? La comédienne et productrice se prépare-t-elle à assumer un rôle de Première dame ? Est-elle intéressée par un engagement politique ? Julie Gayet s'est en tout cas exprimée sur plusieurs sujets lors d'un événement organisé en Tunisie le week-end dernier.

Julie Gayet était en Tunisie. Pas pour faire du tourisme mais pour défendre la liberté. Ni plus ni moins. D'aucuns y verront là un rôle de Première dame alors que l'officialisation de sa relation avec François Hollande n'a toujours pas eu lieu. Et que l'actrice n'est pas mariée au président de la République. En Tunisie, Julie Gayet est intervenue début mai, le week-end dernier, dans le cadre du festival Al Kalimat-le Marathon des mots, durant lequel elle a participé à un débat sur la liberté d'expression. Paris Match assure qu'elle a animé, aux côtés d'Olivier Poivre d'Arvor, une discussion intituée "Libre de filmer". Le débat s'est tenu au musée du Bardo, celui-là même qui a été le théâtre, en mars dernier, d'un attentat meurtier qui a coûté la vie à 24 personnes et en a blessé 45 autres. La compagne de François Hollande s'est exprimée sur plusieurs thématiques sérieuses : liberté de penser, de blasphémer, de se moquer, rapport au corps, féminité dans l'espace public...  

Alors que tout le monde se demandait ce qu'il fallait faire des impacts de balles qui émaillent encore les murs du musée, l'actrice a suggéré de conserver quelques stigmates de l'attaque terroriste : "Il semble impossible de laisser cela en l'état. Mais on pourrait envisager de garder quelques traces d'impacts, dans une vitrine du musée, peut-être ?" a-t-elle lancé. Paris Match raconte également que Julie Gayet, d'une "voix douce et posée", a salué le travail réalisé par la programmatrice du festival, la danseuse Syhem Belkhodja. Une femme qu'elle a rencontée il y a un et qui l'a "bluffée". Une attitude qui fait dire à Closer que Julie Gayet a tout d'une Première dame.

En vidéo - En février dernier, une photo de Julie Gayet entourée de gardes du corps, publiée en une de Closer, défrayait la chronique.

"Julie Gayet sous la protection de l'État"