Valérie Trierweiler : confidences sur son état de santé

Valérie Trierweiler : confidences sur son état de santé L'employeur de Valérie Trierweiler livre chaque jour ou presque de nouveaux détails sur la convalescence de la Première dame.

Valérie Trierweiler va "mieux" et se "repose" à la Lanterne. Voilà la seule information livrée aux médias depuis la sortie de l'hôpital de la Première dame, le samedi 18 janvier. Valérie Trierweiler avait été hospitalisée en urgence pour un "gros coup de blues", dans la foulée de la révélation par Closer d'une relation intime entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet. On en sait peu, donc, sur la convalescence de la journaliste. Mais nos confrères de Paris Match, qui emploient toujours Valérie Trierweiler comme chroniqueuse littéraire, semblent avoir quelques informations supplémentaires.

Première confidence lâchée par Paris Match : la cause même de l'hospitalisation. Selon l'hebdomadaire, Valérie Trierweiler aurait pris des somnifères après son explication "musclée" avec François Hollande à l'Elysée le 9 janvier au soir. Il est possible qu'un comprimé de trop soit lié à son malaise. Le lendemain, "nauséeuse, mal en point", elle sera hospitalisée d'urgence sur ordre des services médicaux du palais. Pas question en revanche de "tentative de suicide" dans les lignes de Paris Match, qui rappelle que "Valérie" est une mère de famille doublée d'une battante.

Dans l'enfer de l'hôpital

Décidemment bien informé, Paris Match donne aussi des détails sur l'hospitalisation de Valérie Trierweiler à la Pitié-Salpêtrière pendant une semaine. Des détails souvent anodins (elle se serait nourrie de "jambon-coquillettes"), mais aussi, parfois, plus signifiants : tandis qu'à l'Elysée on misait sur la discrétion au sujet de son hospitalisation, c'est le cabinet de la Première dame qui aurait rendu publique cette hospitalisation. On apprend aussi qu'à l'hôpital, la Valérie Trierweiler aurait été "cernée" par les vigiles et les infirmières, à tel point que les visites se sont faites rares. Son fils Léonard Trierweiler s'est d'ailleurs plaint de ne pas avoir pu voir sa mère, 24 heures avant sa sortie.

Valérie Trierweiler s'est malgré tout tenue informée de ce qui se passait à l'extérieur. Selon Paris Match encore, elle aurait regardé la conférence de presse de François Hollande le 14 janvier, dans sa chambre d'hôpital. Et ce, sur l'écran de son iPhone, car privée de télévision et de tablette. Elle voulait assister à l'événement à l'Elysée, les médecins l'en ont empêché. Lorsque François Hollande est finalement venu la voir le 16 janvier, l'échange est resté "froid". "Ils ne se sont pas sautés dans les bras" écrit Paris Match. Hollande aurait affirmé avoir besoin de réfléchir. C'est lors de cet accord que le séjour à la Lanterne aurait été acté. Dès lors, Valérie Trierweiler aurait fait des pieds et des mains pour quitter la Pitié et pour rejoindre la résidence présidentielle.

Repos et réflexion à la Lanterne

Enfin, Paris Match livre quelques confidences sur l'emploi du temps de la Première dame à la Lanterne depuis sa sortie : Valérie Trierweiler effectue des "balades" dans le parc de la résidence pour décompresser, entre sa piscine, son jardin privé et son cours de tennis. Sous haute surveillance dans cette résidence parfaite pour rester à l'abri des regards, elle réfléchirait aussi beaucoup à son avenir. Alors que le retour de Valérie Trierweiler ne serait pas souhaité à l'Elysée, celle-ci s'accrocherait farouchement à son statut de Première dame. Pour Paris Match, Valérie Trierweiler se voit en "compagne officielle" du président de la République et serait prête à partir aux Etats-Unis avec François Hollande. D'ici là, à la fin janvier, elle pourrait maintenir un déplacement en Inde au profit d'action contre la faim. Ce serait donc la preuve qu'elle continue le combat. A moins que les médecins lui interdisent un tel voyage.
Photo : Valérie Trierweiler photographiée en juillet 2013 lors d'une rencontre à Paris avec des officiels français, africains et de l'ONU ©UN Photo/Rick Bajornas.
EN VIDÉO - François Hollande est resté muet sur l'avenir de son couple, depuis le scandale, comme lors de sa première visite officielle à l'étranger.

"Hollande : Valérie Trierweiler "va mieux""