Valérie Trierweiler : elle ne veut vraiment pas se marier avec François Hollande
Alessandra Sublet a terminé en beauté la saison de "C à vous" sur France 5, qu'elle va quitter la saison prochaine pour d'autres projets. L'animatrice recevait ce jeudi 27 juin la Première dame Valérie Trierweiler pour une interview sans anicroche, sur un ton souvent très chaleureux. Et, cerise sur le gâteau, Valérie Trierweiler a offert à France 5 quelques confidences sur sa vie quotidienne et sa conception du couple qu'elle forme avec François Hollande. La journaliste, qui officie toujours dans les pages de Paris Match a redit qu'elle ne souhaitait pas se marier avec François Hollande. Rester la compagne du président ne la gène pas : "Qu'est-ce que ça change ?", s'interroge celle qu'on critique pour occuper un bureau à l'Elysée. Compagne est pour elle "un très joli mot parce qu'on accompagne". Puis Trierweiler de laisser parler ses sentiments : "On est ensemble parce qu'on s'aime, pas parce qu'on est obligés".
Bien d'autres déclarations de la très rare Première dame ont pu être relevées sur le plateau. Sur le désormais incontournable tweet contre ségolène Royal, dont elle dit avoir "tiré les leçons", sur le sosie de François Hollande qui, selon elle, "ne lui ressemble aps du tout", mais aussi sur la vie quotidienne. Valérie Treirweiler a par exemple confié qu'elle passait elle-même l'aspirateur ou s'occupait du lave vaisselle chez elle "pour [se] détendre" ou se faire "du bien". Avec ses enfants, elle se dit "mère tigresse", qui appelle ses rejetons "dix fois par jour" et lave encore leur linge ! Restait évidemment à évoquer un sujet de la plus haute importance : la cuisine. "Je ne peux pas dire que j'excellais en la matière", rapporte Valérie Trierweiler, qui préfère manifestement faire confiance aux cuisiniers de l'Elysée. Mais là encore, elle n'a pu s'empêcher de livrer une confidence sur les menus choisis avec françois Hollande : "C'est un combat permanent. Le Président et moi, on n'a pas tendance à choisir la même chose. Il aime la cuisine généreuse et moi j'essaie de limiter un peu..." De quoi nourrir une nouvelle chronique sur l'embonpoint de son gourmand compagnon.
EN VIDÉO - Les auteurs et la maison d'édition de l'ouvrage "La Frondeuse" ont été condamnés récemment à verser solidairement 10 000 euros de dommages et intérêts à Valérie Trierweiler pour atteinte à la vie privée. Une "très bonne décision" pour l'avocate de la Première dame.