Valérie Trierweiler : son nouveau surnom, "la folle de l'Elysée" ?

Valérie Trierweiler : son nouveau surnom, "la folle de l'Elysée" ? L'ex-Première dame partie, ses anciens collaborateurs à l'Elysée seraient aujourd'hui très durs à son égard, la qualifiant de "folle" et d'"hystérique".

Voilà qui ressemble fort à un retournement de veste, voire à de la trahison. Les anciens collaborateurs de Valérie Trierweiler à l'Elysée, désormais reconvertis dans d'autres services au Palais présidentiel, usent d'un langage sans ambages et peu flatteur au sujet de l'ex-Première, nous apprend Valeurs Actuelles. L'hebdomadaire écrit que "pour eux, et malgré parfois les années de complicité, Valérie Trierweiler n'est plus qu'une "folle", une "hystérique". Pire, selon leurs propres mots, "elle l'a toujours été". Des informations à mettre sous caution venant de Valeurs Actuelles, l'hebdomadaire ayant récemment affirmé, par exemple, que Léonard Trierweiler, le fils de Valérie Trierweiler, vivrait toujours à l'Elysée, ce qui parait invraisemblable.

Le magazine révèle également que les journalistes politiques qui connaissent bien l'Elysée doivent désormais s'habituer "aux confidences glissées pour accréditer cette thèse". Les langues se délient, donc, dans les couloirs du Palais, au sujet de Valérie Trierweiler et de son comportement durant les deux dernières années. Dans son ouvrage, "Merci pour ce moment", l'ancienne campagne de François Hollande racontait quelques moments de vie à l'Elysée. Entre ses activités associatives et les cérémonies données au Palais, elle révèle à quel point elle avait été affectée par le rythme et les obligations du Pouvoir. Souvent épuisée, les nerfs à vif, ne supportant pas les nombreuses remarques déplacées ou la porosité de son espace privé à l'Elysée, c'est un portrait de femme fragile et délaissée qu'elle dépeignait elle-même. Après la parution de l'ouvrage, l'état de santé de Valérie Trierweiler était posée dans les médias, notamment concernant son état de fatigue et de stress.

EN VIDEO - En entrant à l'Elysée, Valérie Trierweiler ne savait pas encore quelle place elle devait prendre :