Elu dès le 1er tour (le
10 mars 2008)
Hervé Novelli a été élu dès le premier tour avec 54,41 % sur la liste du maire sortant Pierre Gravel.
En bonne position (le 7 mars 2008)
Hervé Novelli a commencé par militer au sein de groupes d'extrême-droite
(Fédération des étudiants nationalistes, Occident, puis au Front national) dans
les années 1970, avant d'animer la branche libérale du RPR et de l'UMP
aux côtés d'Alain Madelin. Chef de cabinet de ce dernier au ministère
de l'Industrie, des PTT et du Tourisme, entre 1986 et 1988, il fonde avec lui
l'institut "Euro 92", qui prépare l'entrée des entreprises françaises dans le
Marché unique. A partir de 1993, il est élu député d'Indre-et-Loire
et poursuit son action auprès des entreprises à l'Assemblée nationale. Mais
lors de la dissolution de 1997, Hervé Novelli perd son siège de député
face au socialiste Yves Dauge, et devient conseiller général du canton de
Richelieu en 1998. C'est en 2001 qu'il remporte ses premières
municipales en tant que maire adjoint de Richelieu. Il y avait créé,
en 1982, une PME spécialisée dans la fabrication de prothèses. L'année
qui suit les municipales, Hervé Novelli profite des divisions de la gauche
locale pour faire son retour au Palais-Bourbon. Toujours maire-adjoint de
Richelieu, sa reconduction est probable en mars 2008 : Nicolas Sarkozy
a obtenu 51,78 % des voix dans la zone en mai et Hervé Novelli
a lui même été réélu député
avec 52,56 % le 17 juin 2007.
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