Résultat UMP : les scores de Sarkozy, Le Maire et Mariton

Résultat UMP : les scores de Sarkozy, Le Maire et Mariton Le résultat de Nicolas Sarkozy, de Bruno Le Maire et d'Hervé Mariton est publié par l'UMP et est en ligne sur Linternaute.com. Le président de l'UMP a été désigné.

Résultat de l'élection du présdient de l'UMP

Résultat de Bruno Le Maire

29,18 %

Résultat de Nicolas Sarkozy

64,5 %

Résultat d'Hervé Mariton

6,32 %

Le détail des résultats est excessivement simple voire limité. L'UMP vient de publier, au travers de sa Haute Autorité, les résultats de l'élection de son président : Nicolas Sarkozy obtient le résultat de 64,5 % des voix chez les 260 000 militants. Bruno Le Maire arrive en seconde position avec 29,18 %. Hervé Mariton est troisième et bon dernier avec le résultat de 6,32 %. Il n'y a pas de résultat par département ou par fédération, les candidats et les médias devront se contenter de ces trois données. C'est donc Nicolas Sarkozy qui arrive largement en tête et se fait élire, dès le premier tour, président de l'UMP.

"Présidence de l'UMP : Sarkozy réagit à sa victoire sur Facebook"

L'ancien chef de l'Etat reprend ainsi le parti, dix ans après sa grande victoire (85 %) en 2004. L'engouement est-il toujours aussi fort ? Face aux bons résultats de Bruno Le Maire, Les chiffres parlent d'eux-mêmes, d'autant que le nombre de candidats est le même qu'à l'époque. Annoncé à plus de 80 % des voix par les sondages publiés plusieurs semaines avant le scrutin, Nicolas Sarkozy avait semblé souffrir d'une légère baisse de régime dans la dernière ligne droite. Le nouveau président de l'UMP, qui avait placé sa campagne sous le signe du rassemblement, doit s'appuyer sur une base solide pour appliquer son traitement de choc au parti : dans les cinq mois qui viennent, juste après les départementales 2015, il souhaite rebâtir un nouveau mouvement et, entre autres mesures, supprimer tous les courants et toutes les chapelles de l'UMP qui en compte beaucoup, de la droite populaire à la Droite sociale en passant par la droite forte, mais aussi les clubs fillonistes, juppéistes ou encore centristes de cette famille aujourd'hui éclatée.