Un malade ne peut pas faire connaître son souhait. Qui peut selon décider
l'arrêt de son traitement ? |
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Trois acteurs : la famille du patient, l'équipe médicale et un comité
éthique extérieur |
58,6 % |
La famille du patient |
19,6 % |
Aucune décision ne doit être prise dans cette situation : il faut continuer le traitement |
4,3 % |
Un comité éthique extérieur |
2,9 % |
Je ne sais pas |
2,4 % |
L'équipe médicale |
2,3 % |
Total |
100 % |
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Le chiffre 20,7% des plus de 65 ans pensent que la décision doit revenir à l'équipe médicale, alors que tous les répondants des autres tranches d'âge privilégient la famille du patient |
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Pour près de 60 % d'entre vous, la décision d'arrêter le traitement d'un malade qui n'a pas pu exprimer sa volonté, doit naître de la concertation entre l'équipe médicale qui le suit, sa famille, et un comité d'éthique extérieur.
19,6 % des personnes qui ont répondu à notre enquête pensent cependant que cette décision doit revenir en premier lieu à la famille du patient. Les femmes de plus de 65 ans elles, sont cependant opposées à cette éventualité : elles estiment à 30 % que l'équipe médicale est la plus à même de décider.
Les réponses des hommes de moins de 35 ans confirment les résultats des questions précédentes : 10,2 % d'entre eux pensent qu'un traitement ne doit pas être arrêté, quel que soit l'état du malade, s'il n'a pas fait connaître sa position au préalable.
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