Meurt-on systématiquement ?

Les risques de propagations à grande échelle en France sont limités © Thomas Bethge - Fotolia

Non. Depuis le début de cette épidémie en 2013, environ 50 % des malades sont décédés, soit 4000 morts selon l'Organisation mondiale de la santé au 10 octobre 2014. Depuis 1976, selon les souches, le taux de morbidité a oscillé entre 25 % et 90 %. Un diagnostic effectué dès l'apparition des symptômes permet d'améliorer les chances des patients, même si l'on ne dispose pas aujourd'hui de traitement efficace. Dans les hôpitaux, on place les malades à l'isolement. La prise en charge des possibles arrêts cardiaques ou la réhydratation constante rend leur survie plus probable.

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