Dacia Sandero : l'essai complet L'intérieur

l'habitacle à l'avant
L'habitacle à l'avant © L'Internaute Magazine / Grégoire Gille

L'intérieur, de part l'omniprésence de plastiques dures, ne peut cacher le positionnement entrée de gamme de la Sandero. Certes, les matériaux ne sont pas tous agréables au toucher et à la vue, mais la présentation est sobre et fonctionnelle voire esthétique concernant les contreforts de portes, les compteurs et le volant.
La qualité de l'assemblage est très convaincante ainsi que l'ergonomie.

L'habitacle aurait gagné en gaieté avec un peu moins de matériaux de couleurs sombres. 
Le confort est bon. Les sièges sont un peu durs mais ils offrent un bon maintien.

L'assise des sièges fournit une position confortable mais vraiment pas sportive : la position de conduite est très haute et n'est pas agréable pour les petits gabarits.

les places arrières spacieuses
Les places arrières spacieuses © L'Internaute Magazine / Grégoire Gille

Le grand point fort de la Sandero est son habitabilité. Les places arrière bénéficient d'une large banquette et d'un espace pour les jambes conséquent.

Equipements

L'équipement de base comprend un airbag frontal conducteur et passager, l'ABS et l'Aide au Freinage d'Urgence (AFU) ainsi que la banquette rabattable (mais pas en un tiers- deux tiers disponible en option).

La direction assistée, les vitres électriques et la condamnation centralisée à distance des ouvrants sont des options et ne sont disponibles en série qu'à partir de la finition Ambiance. A ce niveau d'équipement, les airbags latéraux restent, eux,  encore en option.

le coffre
Le coffre © L'Internaute Magazine / Grégoire Gille

Coffre

Le coffre de la Sandero est accessible et particulièrement logeable. Il s'avère volumineux avec 320 litres. Lorsque la banquette arrière est rabattue, le seuil de coffre n'est pas plat mais le volume de chargement passe à 1 200 litres.