Christoph Waltz (Oscars 2010)

Waltz, inoubliable dans Inglorious Basterds © Mark J. Terrill/AP/SIPA
Christoph Waltz s'est fait un nom dans le cinéma européen et américain grâce à Inglorious Basterds, le film déjanté de Quentin Tarantino sur la Seconde Guerre mondiale. Grâce à sa prestation inoubliable du Colonel SS quadrilingue Hans Landa, il obtient en 2010 l'Oscar du Meilleur acteur dans un second rôle. Tandis qu'il monte sur la scène pour recevoir son prix des mains de Penélope Cruz, il déclare : "Un Oscar et Pénélope Cruz, c'est un super bingo" plaisante-t-il, en référence à la réplique désormais culte de son personnage. "J'ai toujours voulu découvrir de nouveaux continents et je me suis dit, pourquoi pas, l'Amérique. Puis on m'a présenté Quentin Tarantino qui était en train de monter un projet. Tout le monde m'a aidé à trouver ma place. Que ce soit les acteurs ou l'équipe technique. Tarantino a pris la barre. Et c'est ce pourquoi je suis ici. C'est votre cadeau de bienvenue. Je ne pourrais jamais assez vous remercier mais je peux commencer dès maintenant : merci" termine-t-il ému. 
Christoph Waltz s'est fait un nom dans le cinéma européen et américain grâce à Inglorious Basterds, le film déjanté de Quentin Tarantino sur la Seconde Guerre mondiale. Grâce à sa prestation inoubliable du Colonel SS quadrilingue Hans Landa, il obtient en 2010 l'Oscar du Meilleur acteur dans un second rôle. Tandis qu'il monte sur la scène pour recevoir son prix des mains de Penélope Cruz, il déclare : "Un Oscar et Pénélope Cruz, c'est un super bingo" plaisante-t-il, en référence à la réplique désormais culte de son personnage. "J'ai toujours voulu découvrir de nouveaux continents et je me suis dit, pourquoi pas, l'Amérique. Puis on m'a présenté Quentin Tarantino qui était en train de monter un projet. Tout le monde m'a aidé à trouver ma place. Que ce soit les acteurs ou l'équipe technique. Tarantino a pris la barre. Et c'est ce pourquoi je suis ici. C'est votre cadeau de bienvenue. Je ne pourrais jamais assez vous remercier mais je peux commencer dès maintenant : merci" termine-t-il ému. 
© Mark J. Terrill/AP/SIPA