Le cinéaste, handicapé depuis l'enfance par la poliomyélite, a fait de son corps l'objet de son œuvre filmique. Dans cet essai, il explore les registres de la douleur, à travers des témoignages. « Comment appelleriez-vous votre douleur ? », demande Dwoskin. « Je l'appellerais la vie », répond un jeune homme.