Les meilleures répliques des Nuls

Les meilleures répliques des Nuls "La Cité de la peur", c'était il y a déjà 20 ans. A l'occasion de cet anniversaire, redécouvrez les meilleures citations tirées des autres films des Nuls.

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Astérix et Obélix : mission Cléopâtre © Pathé Distribution

Succès incroyable pour le deuxième film d'Alain Chabat, Astérix et Obélix : mission Cléopâtre attire14 millions de spectateurs. A raison d'un gag à la minute, le rythme est intenable :
 

 Cléopâtre : je vais lui construire le plus magnifique des palais. Et c'est toi, Numérobis, qui en sera l'architecte.
Numérobis : C'est…, c'est moi qui en serais l'architecte. C'est...… C'est-à-dire ?
Cléopâtre : Tu as trois mois, jour pour jour, top Chronos.
Numérobis : Trois mois.… Mais trois mois à partir…... Avec combien de temps de retard ?

 Obélix : C'est quoi ces gros raisins ?
Astérix : Ce sont des dattes Obélix. Ça pousse tout en haut des arbres là-bas.
Obélix : C'est croquant au milieu...
Astérix : C'est le noyau.

 Cléopâtre : Jusqu'à nouvel ordre, ô César, ce ne sont pas les Romains qui ont construit les pyramides.
César [trace un triangle] : Ces trucs pointus là ?
Cléopâtre : Et le Sphinx ? Et la tour de Pharos ? C'est quoi ? De la gnognotte ?
César : Oui, ben ça date pas d'hier.
Cléopâtre : Que ce soit hier, ou aujourd'hui, mon peuple est le plus grand de tous les peuples !
César : Dis donc "ton peuple, ton peuple" ! T'es quand même grecque au départ ! Alors comme égyptienne de souche, j'ai vu mieux, excuse-moi !

 Obélix : C'est bon ces grosses crevettes.
Egyptien : Homard….
Obélix : Moi, c'est Obélix.

 Astérix [regardant un phare au loin] : La lumière du phare d'Alexandrie fait naufrager les papillons de ma jeunesse...
Obélix : En tout cas, j'ai plus d'appétit qu'un barracuda.
Astérix et Obélix : Bar-ra-cu-da !

 Numérobis [insultant les Romains] : Eh ! Les Romains ! Vous êtes tous des Romaines !

 Amonbofis : Pas de pierre ? Pas de construction. Pas de construction ? Pas de palais. Pas de palais ? Pas de palais...

 En bonus, le monologue intégral d'Edouard Baer dans le rôle d'Otis. Attention, ça débite !
Otis : Mais vous savez, moi je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi si je devais résumer ma vie, aujourd'hui avec vous, je dirais que c'est d'abord des rencontres, des gens qui m'ont tendu la main peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j'étais seul chez moi. Et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée. Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l'interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer. Alors ce n'est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire j'ai pu, et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu'amour. Et finalement quand beaucoup de gens me disent aujourd'hui : "Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ?" et bien je leur réponds très simplement, je leur dis : "C'est ce goût de l'amour". Ce goût donc, qui m'a poussé aujourd'hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi.

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Didier © Studio Canal

Premier film réalisé par Alain Chabat, Didier est de ces comédies rares qui tiennent leur concept de base (un chien se transforme en homme) du début à la fin. Les situations absurdes se suivent et les répliques d'anthologie fusent :

 Didier : Wouf ?
Jean-Pierre Costa : Non ! On ne sent pas le cul quand on connaît pas !

 Jean-Pierre Costa : Je sais pas. Je comprends pas. Comment tu veux expliquer ça ? Un jour, tu es un chien et le lendemain, tu es un homme. Je crois même pas à ce que je viens de dire. La seule explication, c'est comme les trucs bouddhistes. C'est une réincarnation, mais en super accéléré. Ou les univers parallèles...

Jean-Pierre Costa : On est mal, on est mal ! Il faut trouver une solution, vite !
Charly : Pour ?
Jean-Pierre Costa : Tu me fais peur, des fois….

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Trafic d'influence © United International Pictures (UIP)

Avec Trafic d'influence, le réalisateur Dominique Faruggia s'attaque à la comédie d'action. Ici les répliques partent aussi vite que les balles :

 Labardière : Alors dorénavant vous m'appellerez soit M. de Labardière, soit…...
Ravanelli : Non mais je vous signale qu'on va en taule, pas à une chasse à courre !
Labardière : Ecoutez, je vous donne une leçon de grammaire française Ravanelli, alors laissez-moi finir !
Ravanelli : Allez-y je m'en fous complètement….

 Labardière : Ah mon Dieu, faites que ce soit enfin une âme charitable !
Ravanelli : Avec la chatte qu'on a en ce moment, vous allez voir qu'on va tomber sur la famille de Massacre à la tronçonneuse.

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