Une femme engagée

© NANA PRODUCTIONSSIPA
Si elle n'a jamais voulu être qualifiée de féministe, Jeanne Moreau n'en reste pas moins une femme engagée qui a su se manifester pour le droits des femmes. En 1971, elle fait partie des signataires du "Manifeste des 343", une pétition en faveur de la légalisation de l'interruption volontaire de grossesse; parue dans le Nouvel Observateur le 5 avril de cette année-là. 
Quelques années plus tard, elle donne son soutien aux "femmes opprimées",. Selon elle, la femme qui a "le moyen de se libérer en cachette de son mari, [...] plus de moyens d'information aussi pour ne pas être enceinte à chaque fois qu'elle fait l'amour." selon ses mots au journaliste  Paul Giannoli.
En 2013, face à caméra, elle lit la  "Lettre du camp 14 de Mordovie", écrite par Nadejda Tolokonnikova, une membre du groupe de punk-rock féministe russe Pussy Riot, qui dénonce les dérives conservatrices et autoritaires de la Russie
Si elle n'a jamais voulu être qualifiée de féministe, Jeanne Moreau n'en reste pas moins une femme engagée qui a su se manifester pour le droits des femmes. En 1971, elle fait partie des signataires du "Manifeste des 343", une pétition en faveur de la légalisation de l'interruption volontaire de grossesse; parue dans le Nouvel Observateur le 5 avril de cette année-là.  Quelques années plus tard, elle donne son soutien aux "femmes opprimées",. Selon elle, la femme qui a "le moyen de se libérer en cachette de son mari, [...] plus de moyens d'information aussi pour ne pas être enceinte à chaque fois qu'elle fait l'amour." selon ses mots au journaliste  Paul Giannoli. En 2013, face à caméra, elle lit la  "Lettre du camp 14 de Mordovie", écrite par Nadejda Tolokonnikova, une membre du groupe de punk-rock féministe russe Pussy Riot, qui dénonce les dérives conservatrices et autoritaires de la Russie
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