Elections municipales Bourdeau 2014

De manière générale, la ville de Bourdeau se tourne vers les listes UMP. Concernant la lutte PS / UMP, le candidat UMP avait reçu 40,56% des voix en 2012 là où le candidat du Parti socialiste arrivait à 19,44%, soit moins que son score atteint dans le pays. La mobilisation des administrés aux bureaux de vote de Bourdeau et les scores des candidats seront ainsi au centre des interprétations au sujet de cette élection. En 2012, la candidate FN avait recueilli 12,5% des votants, soit moins que son niveau atteint en France. Située dans la région Rhône-Alpes, Bourdeau connaît une population de 565 habitants. En l'espace de 3 ans, Bourdeau a connu une progression du nombre de personnes installées sur son territoire, passant de 526 à 565 personnes selon les données de l'Insee. Conduite par Jean-Marc Drivet, Bourdeau se positionne à la 15 244ème position des villes et villages de France. Lors des précédentes élections municipales, la participation se situait à 65,73%, soit plus que le niveau enregistré dans le pays. L'économie constituera un point incontournable des municipales. Bourdeau est plus nantie que la moyenne française avec un revenu fiscal de référence de 31 749 euros contre 22 246 euros. De plus, le chômage est faible en regard de la moyenne nationale, à 5,3% des actifs contre 9,1% (informations Insee, 2010). Si on analyse la démographie de la ville de Bourdeau, on note que les jeunes de 30 ans et moins représentent 36,8% des habitants de Bourdeau, c'est-à-dire plus que le niveau enregistré dans le pays. Une donnée à ne pas omettre dans les anticipations de la conduite des électeurs qui vont voter. Concernant la participation dans l'Hexagone, elle devrait être basse, notamment à cause de la crise économique. Les observateurs prévoient qu'elle pourrait s'établir aux alentours de 64%. Le score des candidats à Bourdeau, en dépendra. Le parti du Président pourrait également se faire enlever Saint-Etienne. Nouvelle inconnue: le score du FN. Le mouvement présente 597 candidatures, du jamais vu. Suivant sa puissance, le parti de François Hollande pourrait obtenir plus de postes que redouté.