"The Palm" et "The World" Dubaï,
"The Pearl" au Qatar... Construire une île
artificielle semblait être l'apanage des richissimes
Emirats arabes unis, une façon pour ces nations aux
territoires minuscules d'étendre leur zone d'influence
géorgraphique.
La Russie ne se contente pas de construire des centres
d'affaires ultra-modernes, tel que Moskva City, qui tente
de rivaliser avec les quartiers de Battery Park à New York,
Canary Warf à Londres ou encore la Défense à Paris. En plus
d'aspirer à l'extension verticale, ce pays aux dimensions
de continent cherche l'expansion horizontale. Une façon
de mettre la nature au pas, de manifester la puissance infinie
de l'Etat dans le milieu naturel le plus difficile à
dominer : la mer. Au-delà des retombées économiques
évidentes que pourrait avoir ce projet, la Russie
se positionne ici comme une nation audacieuse, qui concrétise
les rêves des hommes... et le prestige du pouvoir
en place.
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Pearl" au Qatar : une île à 2,5 milliards
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en forme de palmier. Visite sur un chantier exotique et
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