Les pires pénaltys de l'histoire du football William flashé à 10 km/h (et on est sympa)

Les tireurs de pénalty préfèrent souvent fermer les yeux et tirer dans la balle aussi fort que possible. D'autres, à l'inverse, pensent qu'il suffit de bien cadrer sa frappe pour tromper le gardien. Mais quand le joueur choisit cette tactique et oublie de mettre la puissance, cela donne ça : un tir tellement mou que le gardien a le temps de plonger à droite, se remettre sur ses appuis et revenir au centre pour saisir la balle sans effort. Un peu plus et il prenait le temps de danser la samba avant d'accomplir son arrêt !

 

 

Ce pénalty est l'œuvre du pauvre William, attaquant de Botafogo (Brésil). Nous sommes le 14 septembre 2006 lors du tour préliminaire de la Copa Sudamericana : au 2e tour de la compétition, son équipe défie un autre club de Rio, Fluminense. Les deux rivaux doivent se départager lors d'une séance de tirs au but après s'être neutralisés pendant deux matchs (1-1 à l'aller comme au retour). Botafogo s'inclinera 4-2, laissant à Fluminense la qualification pour les 8e de finale.