Edgar Grospiron, le boute-en-train des pistes

Par sa bonne humeur, Edgar Grospiron a donné l'envie de faire du ski à de nombreux jeunes. © Patrick Micheletti

Champion olympique de ski de bosses aux JO d'Albertville en 1992, Edgar Grospiron n'a jamais caché qu'il aimait la fête, la convivialité et la bonne humeur. A l'arrivée de sa course victorieuse, quand un journaliste lui demande quelle est sa recette, il répond dans un grand sourire : "Une semaine vin blanc, une semaine vin rouge".

Charismatique, il devient vite, après son titre olympique, une vedette du sport français. Sans se prendre au sérieux, on le voit se déguiser pour vanter les mérites de la station de La Clusaz d'où il est originaire. Il a participé à plusieurs concerts caritatifs à la guitare et au chant avec toujours la même motivation : prendre du plaisir à faire rigoler les autres.

Edgar Grospiron a pris sa retraite à 26 ans. Il s'est lancé dans le consulting en management et était jusqu'en décembre directeur général du comité de candidature d'Annecy pour les JO 2018.   

 

Champion olympique de ski de bosses aux JO d'Albertville en 1992, Edgar Grospiron n'a jamais caché qu'il aimait la fête, la convivialité et la bonne humeur. A l'arrivée de sa course victorieuse, quand un journaliste lui demande quelle est sa recette, il répond dans un grand sourire : "Une semaine vin blanc, une semaine vin rouge". Charismatique, il devient vite, après son titre olympique, une vedette du sport français. Sans se prendre au sérieux, on le voit se déguiser pour vanter les mérites de la station de La Clusaz d'où il est originaire. Il a participé à plusieurs concerts caritatifs à la guitare et au chant avec toujours la même motivation : prendre du plaisir à faire rigoler les autres. Edgar Grospiron a pris sa retraite à 26 ans. Il s'est lancé dans le consulting en management et était jusqu'en décembre directeur général du comité de candidature d'Annecy pour les JO 2018.     
© Patrick Micheletti