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Créés en 1928 par George Breshnahan et William Tuttle (deux entraîneurs américains), les starting blocks n'ont été reconnus par la Fédération Internationale d'Athlétisme (IAAF) que 20 ans après leur création.

 
Aujourd'hui, tous les sprinteurs utilisent des starting blocks sans exception
Photo ©
 

C'est à Chicago, le 9 juin 1929, que l'Américain George Simpson s'aida pour la première fois de supports en bois afin d'améliorer sa poussée au départ. Mais sa performance record (9''4 sur 100 yards) ne fut jamais homologuée par la Fédération américaine, l'AAU. La même année, Simpson abaissa le record du monde du 200 mètres à 20''6 secondes. Nouveau refus, cette fois de l'IAAF.

Les instances mondiales de l'athlétisme, par la voie de l'IAAF, n'ont finalement toléré les starting blocks qu'à partir de 1937.
Et ce n'est qu'en 1948, aux Jeux Olympiques de Londres, qu'ils sont officiellement autorisés lors des épreuves de sprint.

Entre 1929 et 1937, deux types de records coexistaient : les officiels, c'est-à-dire ceux obtenus sans cette invention, et les officieux, plus poussés mais jugés illégaux car réalisés à l'aide de starting blocks.

 


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