Le diagnostic du médecin

L'IRM n'est pas une étape nécessaire. C'est au chirurgien d'évaluer sa pertinence. © Agence DER - Fotolia

Juste après l'accident, les médecins peuvent difficilement se rendre compte de la gravité de la blessure. Même entre collègues, les avis peuvent diverger. C'est ce qui est arrivé à Alex lorsqu'il s'est rendu à l'hôpital après une chute en ski : "Certains disaient qu'il s'agissait d'une rupture des ligaments croisés antérieurs, d'autres que ça ne pouvait pas être ça car mon genou n'avait aucun "effet de tiroir" après l'accident".

Après examen clinique, le chirurgien appelé à se prononcer peut demander au patient de passer une IRM (Imagerie par Résonance Magnétique), si jamais il a un doute sur la décision à prendre. Néanmoins, l'IRM n'est pas une étape nécessaire. C'est au chirurgien d'évaluer sa pertinence.

Avant l'opération, vous pouvez être amené à faire, comme Franck, "des séances de kiné afin de réduire le gonflement du genou".


En savoir plus L'avantage de l'IRM : mieux cibler une zone pathologique

Juste après l'accident, les médecins peuvent difficilement se rendre compte de la gravité de la blessure. Même entre collègues, les avis peuvent diverger. C'est ce qui est arrivé à Alex lorsqu'il s'est rendu à l'hôpital après une chute en ski : "Certains disaient qu'il s'agissait d'une rupture des ligaments croisés antérieurs, d'autres que ça ne pouvait pas être ça car mon genou n'avait aucun "effet de tiroir" après l'accident". Après examen clinique, le chirurgien appelé à se prononcer peut demander au patient de passer une IRM (Imagerie par Résonance Magnétique), si jamais il a un doute sur la décision à prendre. Néanmoins, l'IRM n'est pas une étape nécessaire. C'est au chirurgien d'évaluer sa pertinence. Avant l'opération, vous pouvez être amené à faire, comme Franck, "des séances de kiné afin de réduire le gonflement du genou". En savoir plus L'avantage de l'IRM : mieux cibler une zone pathologique
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