Face à la Suisse, le bluff d'Arnaud Clément très critiqué

Arnaud Clément. © VANSTEENKISTE STEPHANE/SIPA
La gestion du cas Tsonga par le staff technique durant le week-end de cette finale France - Suisse est également à l'époque source de polémique. La décision d'Arnaud Clément, le capitaine, de faire durer le suspense jusqu'au bout sur la participation de Tsonga au double (alors qu'il savait la veille qu'il ne serait pas apte) et de finalement décider de titulariser Benneteau 1h30 donne l'impression d'une grande improvisation qui contraste avec l'enjeu de la rencontre.

Après la finale, Clément expliquera : "On n'a pas d'information à donner à l'équipe adverse à ce moment-là du week-end. Si c'était une incertitude pour eux, il fallait qu'elle reste le plus tard possible dans leur tête. Si cela a été un petit plus et un petit doute supplémentaire pour l'équipe adverse, c'était mon devoir".
La gestion du cas Tsonga par le staff technique durant le week-end de cette finale France - Suisse est également à l'époque source de polémique. La décision d'Arnaud Clément, le capitaine, de faire durer le suspense jusqu'au bout sur la participation de Tsonga au double (alors qu'il savait la veille qu'il ne serait pas apte) et de finalement décider de titulariser Benneteau 1h30 donne l'impression d'une grande improvisation qui contraste avec l'enjeu de la rencontre. Après la finale, Clément expliquera : "On n'a pas d'information à donner à l'équipe adverse à ce moment-là du week-end. Si c'était une incertitude pour eux, il fallait qu'elle reste le plus tard possible dans leur tête. Si cela a été un petit plus et un petit doute supplémentaire pour l'équipe adverse, c'était mon devoir".
© VANSTEENKISTE STEPHANE/SIPA