Les salles de karaokés

Une salle de karaoké de la chaîne Big Echo © Big Echo

On se souvient de Bill Murray reprenant maladroitement "More than this" de Bryan Ferry dans le film "Lost in Translation" de Sofia Coppola. Les karaokés au Japon, c'est culte. D'ailleurs, le mot est d'origine japonaise, il signifie "orchestre vide".

Même si ce n'est vraiment pas votre truc et que vous appréhendez ce type d'expérience et le ridicule qu'il impose... Il y a de grandes chances que vous soyez conquis.

Au Japon, les salles de karaokés sont privatisées (on les loue à l'heure ou à la demi-heure). On peut y manger, y venir seul ou avec des amis. Totalement insonorisées, elles vous permettront de libérer le chanteur de death metal qui est en vous, sans craindre d'entendre la Police frapper à la porte.

Le nombre de chansons proposé est tout simplement hallucinant. On y trouve les derniers tubes de world music et même des chansons en français !

On se souvient de Bill Murray reprenant maladroitement "More than this" de Bryan Ferry dans le film "Lost in Translation" de Sofia Coppola. Les karaokés au Japon, c'est culte. D'ailleurs, le mot est d'origine japonaise, il signifie "orchestre vide". Même si ce n'est vraiment pas votre truc et que vous appréhendez ce type d'expérience et le ridicule qu'il impose... Il y a de grandes chances que vous soyez conquis. Au Japon, les salles de karaokés sont privatisées (on les loue à l'heure ou à la demi-heure). On peut y manger, y venir seul ou avec des amis. Totalement insonorisées, elles vous permettront de libérer le chanteur de death metal qui est en vous, sans craindre d'entendre la Police frapper à la porte. Le nombre de chansons proposé est tout simplement hallucinant. On y trouve les derniers tubes de world music et même des chansons en français !
© Big Echo