François : il ose bousculer les conservateurs

Le pape François, en 2015 © AGF EDITORIAL / SIPA
Au départ, son naturel souriant et ses idées modernistes ont surpris. Arrivé à la tête du Vatican le 13 mars 2013, premier souverain pontife né en dehors d’Europe, le pape François a étonné en proposant des réformes liées aux mœurs ; il s’est ainsi prononcé en faveur de la communion des catholiques divorcés ou estimé que les chrétiens n’avaient pas vocation à se reproduire "comme des lapins". Il a également condamné les dégâts causés par le "libéralisme sauvage". Il a en revanche réaffirmé son opposition au contrôle "artificiel" des naissances ou au mariage homosexuel. François a également évoqué publiquement l’idée de renoncer à sa charge avant sa mort et s’est attaquer au douloureux chantier de l’assainissement des finances de l’Eglise.
Au départ, son naturel souriant et ses idées modernistes ont surpris. Arrivé à la tête du Vatican le 13 mars 2013, premier souverain pontife né en dehors d’Europe, le pape François a étonné en proposant des réformes liées aux mœurs ; il s’est ainsi prononcé en faveur de la communion des catholiques divorcés ou estimé que les chrétiens n’avaient pas vocation à se reproduire "comme des lapins". Il a également condamné les dégâts causés par le "libéralisme sauvage". Il a en revanche réaffirmé son opposition au contrôle "artificiel" des naissances ou au mariage homosexuel. François a également évoqué publiquement l’idée de renoncer à sa charge avant sa mort et s’est attaquer au douloureux chantier de l’assainissement des finances de l’Eglise.
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