Des études, et notamment l'expertise menée par UBC Ingénierie, ont conclu à la ruine inéluctable du fort, achevé en 1866, si des travaux de restauration n'étaient pas engagés. © Dept17-DJI
Sur la façade du fort, plusieurs fissures sont visibles à l'œil nu depuis l'extérieur. Si elles ne sont pas considérées comme altérant la pérennité du bâtiment, elles témoignent d'une importante dégradation. © Dept17-DJI
Les pierres du fort ne sont plus toutes en très bon état. Cela provoque un risque de descellement et de perte de pierres de parement. © Dept17-Droneonair-DJI
La risberme, une ceinture de protection qui faisait le tour du fort, a été totalement disloquée. Ces dégâts ont mis à nu les fondations du fort et l'exposent à l'érosion. © Dept17-DJI
Les jetées latérales qui faisaient office de havre d'accostage sur la façade sud-est ont disparu. Cela empêche un accès direct au fort. © Sébastien Laval - sebastienlavalphotographe.com
Un éperon, structure robuste capable de résister à l'usure, placé sur la façade nord-ouest, a également été détruit avec le temps. Il protégeait le fort contre la houle et les courants marins. © Dept17-DJI
Les fenêtres ont aussi été touchées. Lors des tempêtes de l'hiver dernier, deux fenêtres ont été arrachées au rez-de-chaussée. © Sébastien Laval - sebastienlavalphotographe.com
Du sous-cavage, extraction de la partie inférieure, est observé en bas du fort. Cela peut jouer à terme sur la stabilité de l'édifice. ©Dept17-Droneonair-DJI