Trierweiler : "Surtout pas de deuxième tweet !" demande Thomas Hollande

Trierweiler : "Surtout pas de deuxième tweet !" demande Thomas Hollande Le Point vient de publier des révélations de Thomas Hollande dans lesquelles le fils du chef de l'Etat se livre pour la première fois sur l'affaire du tweet de Valérie Trierweiler. Des propos démentis par l'intéressé.

"Mon père déteste que l'on parle de sa vie privée." C'est le titre de l'article du Point qui fait le buzz en ce moment dans les médias et sur le Web. Thomas Hollande, 27 ans, y revient pour la première fois sur l'affaire du tweet de Valérie Trierweiler, la compagne de son père, qui soutenait Olivier Falorni, le rival de Ségolène Royal lors des législatives. "Ce que je reproche au tweet, c'est d'avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique", explique le fils de Ségolène Royal et de François Hollande dans l'article. "Ça m'a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée. Ça a détruit l'image normale qu'il avait construite." Puis de conclure, implacable : "Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle [Valérie Trierweiler] un jour, mais pas un si gros coup. C'est hallucinant."

Thomas Hollande s'est empressé de démentir l'article du Point, estimant qu'il n'avait accordé aucune interview et que ces propos avaient été "sortis de leur contexte". Mais la journaliste de l'hebdomadaire, Charlotte Chaffanjon, persiste et signe. Ces propos ont été tenus selon elle par Thomas Hollande lors d'une rencontre informelle le 4 juillet, "à la terrasse d'un bistrot parisien proche du cabinet d'avocats qui l'emploie". Et l'article donne d'autres informations clés sur "l'affaire" : Thomas Hollande confirme notamment que ses frères et sœurs et lui ne souhaitaient plus voir Valérie Trierweiler, comme l'avançait notamment L'Internaute il y a quelques jours. "C'est logique, non ?", interroge encore le fils du chef de l'Etat. Selon le même, François Hollande devrait livrer sa version du "Tweetweilergate" et "clarifier la position" de la Première Dame lors de son interview du 14 juillet. Il en aurait fait la promesse à ses enfants. Pour Thomas Hollande, le choix de Valérie Trierweiler est simple : "Soit elle est journaliste, soit elle a un cabinet à l'Élysée [...]. Et surtout pas de deuxième tweet !"

EN VIDEO - L'affaire du tweet de Valérie Trierweiler avait marqué l'entre-deux tours des législatives :

"Trierweiler encourage l'adversaire de Royal : la polémique"