Il a failli être expulsé du gouvernement

Le gouvernement a demandé à Nicolas Hulot de lâcher les manettes de sa société. © Michel Euler / POOL / AFP
Selon Le Canard Enchaîné, Nicolas Hulot a frôlé l'expulsion du gouvernement peu de temps après sa nomination.. En cause : la société créée en 1990 par l'ex-présentateur vedette de TF1, Eole Conseil. Celle-ci lui permet depuis de récupérer les royalties touchés sur les produits dérivés Ushuaïa (shampoings, gels douche etc.). Un "deal juteux", dixit le Canard Enchaîné, pesant entre 480 000 et 715 000 euros par an de chiffre d'affaire à partir des années 2000… et dont Nicolas Hulot est seul bénéficiaire, possédant 99,9% des parts d'Eole Conseil. Les statuts de la société ("conseil en relations publiques", "animation de conférence"...) étant propices aux conflits d'intérêt, l'Elysée a demandé à son ministre d'en rendre les manettes, rapporte le Canard Enchaîné. Résultat : l'animateur n'en est  plus le président légal mais en reste le propriétaire et continue à en toucher les dividendes.
Selon Le Canard Enchaîné, Nicolas Hulot a frôlé l'expulsion du gouvernement peu de temps après sa nomination.. En cause : la société créée en 1990 par l'ex-présentateur vedette de TF1, Eole Conseil. Celle-ci lui permet depuis de récupérer les royalties touchés sur les produits dérivés Ushuaïa (shampoings, gels douche etc.). Un "deal juteux", dixit le Canard Enchaîné, pesant entre 480 000 et 715 000 euros par an de chiffre d'affaire à partir des années 2000… et dont Nicolas Hulot est seul bénéficiaire, possédant 99,9% des parts d'Eole Conseil. Les statuts de la société ("conseil en relations publiques", "animation de conférence"...) étant propices aux conflits d'intérêt, l'Elysée a demandé à son ministre d'en rendre les manettes, rapporte le Canard Enchaîné. Résultat : l'animateur n'en est  plus le président légal mais en reste le propriétaire et continue à en toucher les dividendes.
© Michel Euler / POOL / AFP