Macron a pensé lui confier encore plus de pouvoir

Le statut de vice-Premier ministre un temps envisagé n'est pas constitutionnel. © PHILIPPE WOJAZER / POOL / AFP
Dans le JDD du 28 mai 2017, Nicolas Hulot a évoqué le statut qu'il a failli avoir : celui de vice-Premier ministre. Selon le ministre de la Transition écologique et solidaire lui-même, cette option a été discutée avec le président Emmanuel Macron et le Premier ministre Edouard Philippe : "Emmanuel Macron et Édouard Philippe, en me nommant ministre d'État et numéro 3 du gouvernement - le titre de vice-Premier ministre a été envisagé mais ce n'était pas constitutionnel -, ont envoyé un signal très fort de transversalité." a ainsi confié Nicolas Hulot. En effet, selon l'article 21 de la Constitution du 4 octobre 1958, seul le Président peut "suppléer" le Premier ministre dans la totalité de ses fonctions.
Dans le JDD du 28 mai 2017, Nicolas Hulot a évoqué le statut qu'il a failli avoir : celui de vice-Premier ministre. Selon le ministre de la Transition écologique et solidaire lui-même, cette option a été discutée avec le président Emmanuel Macron et le Premier ministre Edouard Philippe : "Emmanuel Macron et Édouard Philippe, en me nommant ministre d'État et numéro 3 du gouvernement - le titre de vice-Premier ministre a été envisagé mais ce n'était pas constitutionnel -, ont envoyé un signal très fort de transversalité." a ainsi confié Nicolas Hulot. En effet, selon l'article 21 de la Constitution du 4 octobre 1958, seul le Président peut "suppléer" le Premier ministre dans la totalité de ses fonctions.
© PHILIPPE WOJAZER / POOL / AFP