Une joie de vivre "au compte-gouttes"

"Un homme, un seul, a encore le privilège de partager la chambre de Jacques Chirac" © BOB EDME / POOL / AFP
Dans les derniers temps, les Chirac reçoivent peu, à part la famille et le grand rabbin de France, aussi divertissant qu'érudit, aux dires de Daniel Le Conte.
"La silhouette de Claude se découpe dans l'ouverture de la porte de la chambre de son père. Dans cet hôtel particulier, la joie de vivre entre au compte-gouttes. Plus de visites mondaines, plus de moments inutiles, plus de personnalités étrangères, Bernadette et Jacques n'en ont plus la force. Il ne reste plus qu'un noyau dur autour des Chirac. Seuls les frères et sœurs de Bernadette sont autorisés à venir lui rendre visite. Pour l'occasion, on s'installe dans le grand salon, on bavarde en buvant un thé, on se raconte les mêmes histoires qui reviennent en boucle. Un homme, un seul, a encore le privilège de partager la chambre de Jacques Chirac. Il s'appelle Haïm Korsia, il est drôle, vif d'esprit, joyeux et amateur de bons mots, tout pour plaire à Jacques Chirac."
Dans les derniers temps, les Chirac reçoivent peu, à part la famille et le grand rabbin de France, aussi divertissant qu'érudit, aux dires de Daniel Le Conte. "La silhouette de Claude se découpe dans l'ouverture de la porte de la chambre de son père. Dans cet hôtel particulier, la joie de vivre entre au compte-gouttes. Plus de visites mondaines, plus de moments inutiles, plus de personnalités étrangères, Bernadette et Jacques n'en ont plus la force. Il ne reste plus qu'un noyau dur autour des Chirac. Seuls les frères et sœurs de Bernadette sont autorisés à venir lui rendre visite. Pour l'occasion, on s'installe dans le grand salon, on bavarde en buvant un thé, on se raconte les mêmes histoires qui reviennent en boucle. Un homme, un seul, a encore le privilège de partager la chambre de Jacques Chirac. Il s'appelle Haïm Korsia, il est drôle, vif d'esprit, joyeux et amateur de bons mots, tout pour plaire à Jacques Chirac."
© BOB EDME / POOL / AFP