Des antidotes pour immobiliser les cellules cancéreuses

Le 29 mars 2017 dans le laboratoire cellulaire du centre de recherche pour le cancer Fred Hutchinson, à Seattle, aux Etats-Unis. © Elaine Thompson / AP / SIPA
"Voilà le plus extraordinaire dans cette histoire! C'est comme si les cellules cancéreuses savaient que les lymphocytes qui s'approchent pour les tuer possédaient ce récepteur et étaient donc sensibles à l'effet d'endormissement que le PDL1 allait provoquer ! C'est, soit dit en passant, à partir de la découverte de ce phénomène que l'on a tout récemment développé cette nouvelle façon de lutter contre le cancer : l'immunothérapie. Celle-ci consiste à administrer aux malades des antidotes à ce somnifère (des anti-PDL1 ou anti-PD1) qui immobilisent les cellules cancéreuses, dès lors incapables d'endormir les globules blancs".
"Voilà le plus extraordinaire dans cette histoire! C'est comme si les cellules cancéreuses savaient que les lymphocytes qui s'approchent pour les tuer possédaient ce récepteur et étaient donc sensibles à l'effet d'endormissement que le PDL1 allait provoquer ! C'est, soit dit en passant, à partir de la découverte de ce phénomène que l'on a tout récemment développé cette nouvelle façon de lutter contre le cancer : l'immunothérapie. Celle-ci consiste à administrer aux malades des antidotes à ce somnifère (des anti-PDL1 ou anti-PD1) qui immobilisent les cellules cancéreuses, dès lors incapables d'endormir les globules blancs".
© Elaine Thompson / AP / SIPA