Un argument régulièrement mis en avant par le gouvernement.
Ce qu'en pense l'économiste Michael Zemmour : C'est fallacieux
"Il y aurait beaucoup de choses à commenter mais je vais rester sur le faux sens le plus flagrant." a commenté l'expert via son compte Twitter le 22 janvier. "Le cas des 'décoteurs et décoteuses'. Dans ses chiffres de 'pensions en hausse' le gouvernement inclut les personnes qui partent aujourd'hui avec une décote à 62 ou 63 ans et qui n'auront plus le droit de le faire. La décote qui va s'appliquer - plus faible qu'à 62 ans - sera la même qu'aujourd'hui si les personnes avaient décidé de partir à 64 ans. Ces personnes ne gagnent donc absolument rien à la réforme mais perdent la possibilité de partir à 62 ou 63 ans. On peut se dire que les personnes qui font le choix de partir à 62 ans malgré une forte pénalité ont des raisons de le faire : revenus faibles, absence d'emploi, travail pénible..."
Un argument régulièrement mis en avant par le gouvernement.
Ce qu'en pense l'économiste Michael Zemmour : C'est fallacieux
"Il y aurait beaucoup de choses à commenter mais je vais rester sur le faux sens le plus flagrant. Le cas des 'décoteurs et décoteuses'. Dans ses chiffres de 'pensions en hausse' le gouvernement inclut les personnes qui partent aujourd'hui avec une décote à 62 ou 63 ans et qui n'auront plus le droit de le faire. La décote qui va s'appliquer - plus faible qu'à 62 ans - sera la même qu'aujourd'hui si les personnes avaient décidé de partir à 64 ans. Ces personnes ne gagnent donc absolument rien à la réforme mais perdent la possibilité de partir à 62 ou 63 ans. On peut se dire que les personnes qui font le choix de partir à 62 ans malgré une forte pénalité ont des raisons de le faire : revenus faibles, absence d'emploi, travail pénible..."
Un argument régulièrement mis en avant par le gouvernement.
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"Il y aurait beaucoup de choses à commenter mais je vais rester sur le faux sens le plus flagrant. Le cas des 'décoteurs et décoteuses'. Dans ses chiffres de 'pensions en hausse' le gouvernement inclut les personnes qui partent aujourd'hui avec une décote à 62 ou 63 ans et qui n'auront plus le droit de le faire. La décote qui va s'appliquer - plus faible qu'à 62 ans - sera la même qu'aujourd'hui si les personnes avaient décidé de partir à 64 ans. Ces personnes ne gagnent donc absolument rien à la réforme mais perdent la possibilité de partir à 62 ou 63 ans. On peut se dire que les personnes qui font le choix de partir à 62 ans malgré une forte pénalité ont des raisons de le faire : revenus faibles, absence d'emploi, travail pénible..."
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"Il y aurait beaucoup de choses à commenter mais je vais rester sur le faux sens le plus flagrant. Le cas des 'décoteurs et décoteuses'. Dans ses chiffres de 'pensions en hausse' le gouvernement inclut les personnes qui partent aujourd'hui avec une décote à 62 ou 63 ans et qui n'auront plus le droit de le faire. La décote qui va s'appliquer - plus faible qu'à 62 ans - sera la même qu'aujourd'hui si les personnes avaient décidé de partir à 64 ans. Ces personnes ne gagnent donc absolument rien à la réforme mais perdent la possibilité de partir à 62 ou 63 ans. On peut se dire que les personnes qui font le choix de partir à 62 ans malgré une forte pénalité ont des raisons de le faire : revenus faibles, absence d'emploi, travail pénible..."
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"Il y aurait beaucoup de choses à commenter mais je vais rester sur le faux sens le plus flagrant. Le cas des 'décoteurs et décoteuses'. Dans ses chiffres de 'pensions en hausse' le gouvernement inclut les personnes qui partent aujourd'hui avec une décote à 62 ou 63 ans et qui n'auront plus le droit de le faire. La décote qui va s'appliquer - plus faible qu'à 62 ans - sera la même qu'aujourd'hui si les personnes avaient décidé de partir à 64 ans. Ces personnes ne gagnent donc absolument rien à la réforme mais perdent la possibilité de partir à 62 ou 63 ans. On peut se dire que les personnes qui font le choix de partir à 62 ans malgré une forte pénalité ont des raisons de le faire : revenus faibles, absence d'emploi, travail pénible..."
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"Il y aurait beaucoup de choses à commenter mais je vais rester sur le faux sens le plus flagrant. Le cas des 'décoteurs et décoteuses'. Dans ses chiffres de 'pensions en hausse' le gouvernement inclut les personnes qui partent aujourd'hui avec une décote à 62 ou 63 ans et qui n'auront plus le droit de le faire. La décote qui va s'appliquer - plus faible qu'à 62 ans - sera la même qu'aujourd'hui si les personnes avaient décidé de partir à 64 ans. Ces personnes ne gagnent donc absolument rien à la réforme mais perdent la possibilité de partir à 62 ou 63 ans. On peut se dire que les personnes qui font le choix de partir à 62 ans malgré une forte pénalité ont des raisons de le faire : revenus faibles, absence d'emploi, travail pénible..."
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"Il y aurait beaucoup de choses à commenter mais je vais rester sur le faux sens le plus flagrant. Le cas des 'décoteurs et décoteuses'. Dans ses chiffres de 'pensions en hausse' le gouvernement inclut les personnes qui partent aujourd'hui avec une décote à 62 ou 63 ans et qui n'auront plus le droit de le faire. La décote qui va s'appliquer - plus faible qu'à 62 ans - sera la même qu'aujourd'hui si les personnes avaient décidé de partir à 64 ans. Ces personnes ne gagnent donc absolument rien à la réforme mais perdent la possibilité de partir à 62 ou 63 ans. On peut se dire que les personnes qui font le choix de partir à 62 ans malgré une forte pénalité ont des raisons de le faire : revenus faibles, absence d'emploi, travail pénible..."
Un argument régulièrement mis en avant par le gouvernement.
"Il y aurait beaucoup de choses à commenter mais je vais rester sur le faux sens le plus flagrant. Le cas des 'décoteurs et décoteuses'. Dans ses chiffres de 'pensions en hausse' le gouvernement inclut les personnes qui partent aujourd'hui avec une décote à 62 ou 63 ans et qui n'auront plus le droit de le faire. La décote qui va s'appliquer - plus faible qu'à 62 ans - sera la même qu'aujourd'hui si les personnes avaient décidé de partir à 64 ans. Ces personnes ne gagnent donc absolument rien à la réforme mais perdent la possibilité de partir à 62 ou 63 ans. On peut se dire que les personnes qui font le choix de partir à 62 ans malgré une forte pénalité ont des raisons de le faire : revenus faibles, absence d'emploi, travail pénible..."
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