Cet argument est régulièrement mis en avant par le gouvernement. Toujours selon le spécialiste de la question Michaël Zemmour, le 2 janvier, auprès du média Basta, il existe en réalité plus d'un levier pour pallier de prochains déficits. Parmi les options, on trouve par exemple le maintien d'une participation de l'État plus élevée dans le financement des retraites, ou encore une légère hausse des cotisations. Il serait aussi possible, note l'économiste, d'élargir les cotisations à des parties de rémunérations qui en sont aujourd'hui exemptées, "comme la prime Macron ou l'épargne salariale".
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