Christophe Chaillet (HSBC) : "Investir en Scellier en transformant un local en habitation"

Christophe Chaillet, directeur de l'ingénierie patrimoniale "clients Premier" chez HSBC France © HSBC

"En 2011 et malgré le rabot fiscal, la loi Scellier reste attractive. Les contribuables faisant l'acquisition d'un logement neuf jusqu'au 31 décembre 2012 bénéficient d'une réduction d'impôt s'ils s'engagent à le louer vide pendant neuf ans, tout en respectant des conditions de loyer, de montant et de géographie. Ces investissements concernent les logements neufs, en VEFA, en réhabilitation ou encore un local à transformer en habitation. C'est là la vraie opportunité.

La liste des bâtiments transformables en locaux pour être habités est large : entrepôt, bureau, hangar, local commercial... Les importants travaux de reconstruction pour rendre le lieu habitable sont éligibles au Scellier. Afin de déterminer le montant de la réduction fiscale, il faut calculer le coût total de l'opération : le prix d'acquisition du local, les frais accessoires (honoraires du notaire, taxe sur la valeur ajoutée ou droits d'enregistrement...), et le montant des travaux de transformation. Attention, le prix de revient ne peut pas dépasser 300 000 euros pour bénéficier du dispositif Scellier."

"En 2011 et malgré le rabot fiscal, la loi Scellier reste attractive. Les contribuables faisant l'acquisition d'un logement neuf jusqu'au 31 décembre 2012 bénéficient d'une réduction d'impôt s'ils s'engagent à le louer vide pendant neuf ans, tout en respectant des conditions de loyer, de montant et de géographie. Ces investissements concernent les logements neufs, en VEFA, en réhabilitation ou encore un local à transformer en habitation. C'est là la vraie opportunité. La liste des bâtiments transformables en locaux pour être habités est large : entrepôt, bureau, hangar, local commercial... Les importants travaux de reconstruction pour rendre le lieu habitable sont éligibles au Scellier. Afin de déterminer le montant de la réduction fiscale, il faut calculer le coût total de l'opération : le prix d'acquisition du local, les frais accessoires (honoraires du notaire, taxe sur la valeur ajoutée ou droits d'enregistrement...), et le montant des travaux de transformation. Attention, le prix de revient ne peut pas dépasser 300 000 euros pour bénéficier du dispositif Scellier."
© HSBC