Essai de la Mercedes SLK : le roadster presque parfait Une petite Mercedes SLS

Cette Mercedes SLK n'usurpe pas son statut de nouveauté. Le roadster Mercedes n'a pas subi un simple restylage mais une refonte complète de sa ligne. La génération précédente, commercialisée en 2004, était déjà une réussite stylistique. Ce nouvel opus réussit à être encore plus beau, encore plus sportif, encore plus exclusif.
Pionnier sur le segment des coupés-cabriolets deux places, la SLK est toujours passée maître dans l'art de camoufler son encombrante structure de toit en dur rétractable sous des lignes sportives. Cette dernière génération excelle en ce domaine à tel point qu'à première vue on en vient à douter qu'elle soit un coupé-cabriolet.
Dans le plus pur esprit roadster, l'avant est démesurément long et les passagers sont renvoyés à l'arrière de la voiture.
La calandre avant s'inspire de la mythique Mercedes 190SL mais aussi de la SLS. L'arrière est lui plus musculeux, plus imposant que sur la précédente génération. La ligne témoigne d'une montée en gamme flagrante que prouve également l'intérieur luxueux.
Plus agressif, le design de cette SLK est superbe. Il est d'ailleurs l'un de ses atouts majeurs par rapport à la concurrence.