Malaises, émotions… Ces moments ont marqué les César

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Moment fort des César : le départ d'Adèle Haenel
© Christophe Ena/AP/SIPA (publiée le 20/02/2023)
"La honte !" Difficile d'oublier l'exclamation outrée qu'a poussée Adèle Haenel alors qu'elle quitte la salle des César le 28 février 2020. La cause ? Roman Polanski, toujours accusé de violences sexuelles par plusieurs femmes et condamné dans les années 1970 pour l'affaire Samantha Geimer, reçoit le César de la meilleure réalisation pour le film J'accuse. Furieuse, Adèle Haenel quitte la salle, lançant "Vive la pédophilie, bravo la pédophilie". Quelques semaines plus tôt, Adèle Haenel avait confié avoir elle-même été victime de harcèlement et agression sexuelle lors de son adolescence de la part du cinéaste Christophe Ruggia. Par la suite, l'actrice avait expliqué dans les colonnes du New York Times que "distinguer Polanski, c'est cracher au visage de toutes les victimes. Ça veut dire, "ce n'est pas si grave de violer des femmes."
"La honte !" Difficile d'oublier l'exclamation outrée qu'a poussée Adèle Haenel alors qu'elle quitte la salle des César le 28 février 2020. La cause ? Roman Polanski, toujours accusé de violences sexuelles par plusieurs femmes et condamné dans les années 1970 pour l'affaire Samantha Geimer, reçoit le César de la meilleure réalisation pour le film J'accuse. Furieuse, Adèle Haenel quitte la salle, lançant "Vive la pédophilie, bravo la pédophilie". Quelques semaines plus tôt, Adèle Haenel avait confié avoir elle-même été victime de harcèlement et agression sexuelle lors de son adolescence de la part du cinéaste Christophe Ruggia. Par la suite, l'actrice avait expliqué dans les colonnes du New York Times que "distinguer Polanski, c'est cracher au visage de toutes les victimes. Ça veut dire, "ce n'est pas si grave de violer des femmes."
© Christophe Ena/AP/SIPA (publiée le 20/02/2023)