Petit chien de chasse très apprécié, le Beagle est malheureusement cité dans l'étude comme étant prédisposé à développer des cancers, notamment de type carcinome des fosses nasales.
Selon une étude publiée dans la revue Royal Society Open Science, les scientifiques de l'Université de Californie à Riverside estiment que le Retriever à poil plat présente le plus de risque de développer un cancer.
Les chiens de race Bouvier bernois sont eux aussi particulièrement exposés au risque de cancer. Selon l'étude, les gros chiens sont plus touchés, avec 40% de risques - contre 10% chez les plus petits animaux.
Dans leur étude, les scientifiques américains révèlent que les Terriers écossais présentent un risque de mortalité par cancer significativement accru.
Le Bullmastiff, chien originaire de Grande-Bretagne, est la quatrième race de chien évoquée dans l'étude. Ils sont exposés notamment au lymphome T et au mastocytome gliome.
Indétrônable dans le cœur des Français, le labrador est en général plus touché que d'autres races par le cancer, notamment les lymphomes T, qui touche les cellules du système immunitaire, les lymphocytes.
Originaires d'Écosse, les petits chiens de race Cairn terrier sont eux aussi exposés au risque de cancer, comme l'explique l'étude de l'UC Riverside.
Cités dans l'étude parmi les chiens les plus disposés à développer des cancers, parmi les 85 races étudiées par les scientifiques, le Staffordshire bull terrier est très populaire en France.
Reconnaissable à son pellage - semblable à tous les chiens dits "d'eau", l'épagneul d'eau irlandais est lui aussi plus disposé à développer des maladies comme des cancers.
Race extrêmement populaire en France, les Caniches présenteraient, selon l'étude, des risques accrus de développer des mélanome, tout comme les Schnauzers nains.