L'écrivain nourrit une étonnante tendresse pour les animaux et notamment pour les chiens qu'il considère comme les "êtres les plus parfaits de la création". Se séparant rarement de son corgy Clément, il est très envisageable que l'auteur ait souhaité plus de proximité avec la nature sauvage le temps d'une semaine loin des hommes. Eternel insatisfait, d'aucuns le décrivent comme un personnage en quête perpétuelle de territoires meilleurs, imaginant la Possibilité d'une île où la vie serait plus douce. Serait-il partie à sa recherche ? Certains affirment qu'il aurait tenté sa chance dans la mer de Norvège, réputée très calme au mois de septembre. Drôle de coïncidence...
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