Les Deux Grenouilles

Plutôt bien, sauf le chef qui est pas tres commercial, un plat qui ne me plaisait pas et correspondait pas a ce qui m'avait ete servi les fois d'avant, il a refusé de le changer...tout ca pour économiser 2 brochettes, bizarre...

Très bon restaurant au cadre agréable. Les tables sont espacées, le service un peu long à démarrer mais après les plats s'enchaînent sans souci. L'accueil est simple et chaleureux. Les entrées sont un peu petites mais on ne part pas avec la faim. Je vous recommande le saumon caramélisé ... Un délice! Seul hic le vin qui reste cher (15€ la bouteille).

Zen et plaisir. bonjour oui belle surprise que ce resto qui de l'extérieur ne révèle pas la suite à savoir deux belles salles calmes et une gentillesse des proprios. Puis des découvertes avec ce tartare de thon multisaveurs exotiques,une salade de poulpe et un café gourmand inabituel. Bref juste une déception que ce soit déjà fini. Zen et plaisir. Hâte d'y retourner.

Les deux grenouilles... Voilà un nom étrange pour un restaurant japonais ! Etrange ou peut être simplement qu'on n'est pas habitué à autre chose que des Tokyo, Osaka, Fuji-san... Il est vrai que les chinois n'ont pas toujours beaucoup d'imagination quand ils ouvrent un restaurant japonais. Mais... Je m'égare ! Voilà donc un "restaurant et bistro japonais" au nom étrange et au cadre... Inhabituel. Pourquoi pas ? Regardons la carte. Tiens... Pas de photos, pas sushis, pas de menu de brochettes ! Mais... Du tonkatsu (porc pané) ! Des karages (disons des beignets de poulet frits) ! Voilà qui devient intéressant quand on est déjà allé plusieurs fois sur place (au Japon). Le reste de la carte est à cette image : des petits plats portions, poisson, viande, tofu, un peu de sashimi, entre 3 et 8€. Ce n'est pas de la cuisine kaiseki, mais on est très proche du repas familial japonais où chacun peut choisir parmi de nombreux plats. Pour accompagner tout cela, thé ou sake. On aperçoit sur le bar de belles grandes bouteilles de sake (souvenirs...) ce qui permet d'en proposer au verre une belle variété. Vient le moment de payer, c'est à la manière dont madame m'a rendu m'a cb a deux mains que j'ai compris. Monsieur est tout blanc mais madame est d'Osaka (Ah... Osaka...). Allez-y ! Ca vous changera de tous ces restos qui se disent japonais. Même si le cadre n'est pas typique, la cuisine est là et tend vers ce qu'elle est véritablement dans ce si beau pays !