Ce crâne aux yeux exorbités et au nez perforé par une lame de silex atteste de la violence des sacrifices humains que pratiquaient les aztèques sur les ennemis ou les êtres faibles pour nourrir les dieux.
Ces couteaux en silex et obsidienne ont beau arborer des visages amusants, ils étaient destinés à extraire le cœur des sacrifiés du Templo Mayor, la grande pyramide à degrés de Tenochtitlan, capitale des Aztèques.
Le culte du dieu de la mort Mictlantecuhtli, au corps décharné, griffes aux mains et gueule béante, est particulièrement important chez les Aztèques qui ont prospéré dans l'ancienne Mésoamérique (1345-1521).
Ce réceptacle en forme d'aigle était destiné à recevoir les cœurs et le sang des sacrifiés immolés dans l'enceinte sacrée du Templo Mayor, la grande pyramide à degrés de Tenochtitlan, capitale des Aztèques.
Composé de 36 planches, le Codex Borbonicus est l'un des plus importants manuscrits aztèques qui illustre entre autre les rites des sacrifices accomplis dans les 18 vingtaines du calendrier agricole de 365 jours.
Cette sculpture en pierre volcanique de Cihuateteotl ou "femmes divines" a été découverte dans un temple dédié aux femmes mortes en couches dans le bassin de Mexico, à l'ère des Mexicas établis des 13e au 16e siècle.
Ce serpent en roche volcanique trouvé dans le bassin de Mexico est l'un des représentants dans la vision aztèque du monde souterrain "inframonde", royaume des morts et des redoutables puissances de l'obscurité.
Dans la civilisation aztèque, de nombreux animaux sacrifiés servaient d'offrandes pour les dieux, comme la spatule rosée, cet oiseau aquatique qui se trouve principalement en Amérique du Sud.
Les Mexicas honoraient les dieux au travers de sacrifices humains. Ce bloc en pierre avec la date "7-fleur" était utilisé lors des sacrifices qui se déroulaient pendant les cérémonies religieuses du Templo Mayor.
La région des morts est un lieu obscur au plus bas de l'inframonde, représenté par des têtes décharnées ou des os croisés faisant référence aux 4 régions de cet espace.