Dieux du Stade 2020 : des corps nus sans fards dans l'ambiance du stade

Dieux du Stade 2020 : des corps nus sans fards dans l'ambiance du stade CALENDRIER DIEUX DU STADE - L'édition 2020 du calendrier le plus sulfureux du milieu sportif est sortie, en vente au prix de 29 euros. Le photographe Pierre-Ange Carlotti opère un retour aux sources avec des clichés argentiques.

[Mis à jour le 3 octobre 2019 à 11h57] Le photographe de mode et lifestyle d'origine corse Pierre-Ange Carlotti signe le calendrier des Dieux du Stade 2020 et immortalise 17 rugbymen dans l'univers brut du stade, à l'argentique. Fini les corps huilés et les filtres, retour aux sources donc pour le calendrier réalisé pour la 19e année consécutive par le Stade Français, club de rugby à XV basé à Paris. Après la thématique plus sophistiquée des Dieux de l'Olympe, les sportifs se dévoilent cette fois-ci sans artifices et sans retouches dans l'ambiance du stade, tout en continuant de faire grimper la température. Découvrez sans plus attendre les photos du calendrier 2020 des Dieux du Stade :

Des habitués figurent au shooting, comme Clément Daguin, mais aussi Frédéric Michalak après quelques années d'absence. Retrouvez aussi Sylvain Nicolas, Sofiane Guitoune, Baptiste Couilloud, Pierre-Louis Barassi, Kelian Galletier, Guillaume Galletier, Jean-Marc Doussain, Antoine Dupont, Pierre Fouyssac, Xavier Mignot, Jules Plisson, Yoann Maestri, Djibril Camara, Arthur Bonneval et Ryan Chapuis...

Calendrier des Dieux du Stade : où l'acheter et à quel prix ?

Le calendrier des Dieux du Stade 2020 est disponible au prix de 29 euros. Une partie des revenus est reversée à l'association "Le Cancer du Sein, Parlons-en !" Vous pouvez l'acheter dans la boutique du site officiel des dieuxdustade.com ou sur le site de la Fnac, Pour les précédentes éditions, rendez-vous dans la boutique des dieuxdustade.com, où leur prix oscille entre 26 et 29 euros.

Dieux du Stade 2019 : retour aux fondamentaux

Le Calendrier des Dieux du Stade 2019 est sorti le 4 octobre 2018 sous la direction du photographe Ludovic Baron. Kylan Hamdaoui, arrière du Stade Français, s'est prêté au jeu du shooting photo. Ludovic Baron a réalisé 4 jours de shooting intense "avec 17 modèles venus de toute l'Europe dans 12 décors montés", a-t-on pu lire sur son compte Twitter. "Reconnu pour son art de la mise en scène et son approche cinématographique de la photographie, il développe ici une vision inédite axée sur la mythologie grecque", explique le Stade Français. 

Dieux du Stade 2018 : les dieux de l'Olympe

L'édition 2018 du calendrier des Dieux du Stade est sortie le 14 septembre 2017. Toutes les photos de cette édition réalisée par Errikos Andreou ont pour décor des matériaux reflétant une lumière continue zébrée de lasers et parfois tamisée de fumée... Et si en couverture le joueur international français de rugby à XV Maxime Mermoz prend la pose avec un ballon électrique sous des néons bleus et une fumée enchanteresse, sur les pages suivantes, ce sont au total 21 athlètes, dont l'ex-nageur champion du monde et d'Europe Camille Lacourt et de nombreux internationaux de rugby à XV ou à 7, comme les célèbres handballeurs Nikola et Luka Karabatic qui ont été invités dans la précédente édition du calendrier des Dieux du Stade 2018. L'année dernière, le shooting avait été réalisé par le photographe grec Errikos Andreou, passionné par la mode. Contrairement à son édition antérieure, il avait troqué le noir et blanc pour des photos très colorées, au total 35, avec des lumières aux "allures de night-club où toutes les nuances flashy de la période disco venaient habiller la nudité des sportifs.

Les 21 sportifs présents dans le shooting réalisé par Errikos Andreou sont les suivants : le rugbyman néo-zélandais Grayson Hart, les joueurs de rugby français Thomas Combezou, Armand Batlle, Jérémy Aicardi, Arthur Retière, Jean Pascal Barraque, Pierre-Gilles Lakafia, Clément Daguin, Martin Devergie, Terry Bouhraoua, Steeve Barry, Clément Lagain, Maxime Mermoz, Damien Chouly, Djibril Camara et Baptiste Serin, le joueur français de volley-ball Yannick Bazin, le joueur de handball français William Accambray, les deux frères handballeurs Nikola et Luka Karabatic et l'ex-nageur français spécialiste des épreuves de dos Camille Lacourt.

Dieux du Stade 2017 : les photos sensuelles

Sur le thème des statues des Dieux de l'Olympe, l'édition 2017 des Dieux du Stade est sortie le 15 septembre 2016. 5 disciplines sont à l'honneur dans cette 16e édition : rugby, handball, judo, biathlon, MMA (Mixed Martial Arts). En couverture, il s'agit d'une photo de Terry Bouhraoua, le capitaine de l'équipe de France de rugby à VII, dont on a pu voir la performance aux JO 2016 de Rio (lire notre article Qui est Terry Bouhraoua ?). 30 sportifs, parmi lesquels des rugbymen du Stade Français (Djibril Camara, Will Genia et Jonathan Danty), un joueur du Montpellier Hérault rugby (Marvin O'Connor), les handballeurs Nikola et Luka Karabatic, les judokas Loïc Piétri et Jeremy Parisi, notre fameux combattant de MMA Sylvain Potard ou encore le biathlète Simon Fourcade, ont pris la pose devant l'objectif du photographe grec Errikos Andreou, qui collabore fréquemment à des magazines de mode comme GQ :

> Découvrez le making-of du calen­drier des Dieux du stade 2017 :

Dieux du Stade 2016 : le sexe de Sylvain Potard a affolé le web

L'édition actuelle de 2016 présente 31 sportifs posant en extérieur sous une lumière naturelle, devant l'objectif de Fred Goudon. La photo de Sylvain Potard, champion de Mixed Martial Arts, un sport de combat plutôt méconnu, a fait l'effet d'un tremblement de terre. Posant intégralement nu, son sexe visible, à la taille impressionnante, le sportif est depuis devenu très célèbre. Sur les réseaux sociaux, de nombreux commentaires ont fleuri, le qualifiant de "Rocco Siffredi déguisé en rugbyman" ou se demandant si l'on n'avait pas abusé de "l'effet loupe sur Photoshop". L'ancienne ministre Roselyne Bachelot a même qualifié le sexe de l'athlète de "trompe d'éléphant"... Voici la photo en question :

Parmi les rugbymen présents dans l'édition 2016, on peut citer Sergio Parisse, Sofiane Guitoune, Pascal Papé, Fulgence Ouedraogo, Amie Cudmore, Mirco et Mauro Bergamasco, Hugo Bonneval, Antoine Burban, Djibril Camara ou Alexis Palisson.  Notez aussi la présence du basketteur Florent Pietrus, du footballeur Jonas Martin, du judoka Jérémy Parisi, du pilote automobile Nelson Panciatici ou encore du gymnaste Jim Zona.

Dieux du Stade 2015 : sous le signe du plaisir

Le photographe Fred Goudon signe encore le calendrier des Dieux du Stade et propose 40 photos très esthétiques en noir et blanc des athlètes qui ne cachent pas grand chose de leurs atouts, entre virilité et sensualité. En couverture, le rugbyman clermontois Morgan Parra prend la pose lascivement. A l'intérieur, on peut admirer, entre autres, les frères Luka et Nicola Karabatic nus dans l'eau, Le demi d'ouverture français au rugby Jules Plisson prend la pose cul nu et allongé et le footballeur Djibril Cissé pose en slip blanc avec une coupe de cheveux improbable. Vous pourrez admirer également les rugbymen Pascal Papé et Hugo Bonneval, le judoka Loïc Piétri et le handballeur William Accambray. Le Calendrier des Dieux du Stade fêtait pour l'occasion ses 15 ans.  

Dieux du Stade 2014 : le côté pin-up au masculin

Après avoir pris les rênes du calendrier en 2006, pour la première fois, le photographe Fred Goudon était de retour en 2014 pour une collaboration qui cette fois-ci dura quatre années avec le calendrier. Dans une interview accordée au Mondedelaphoto.com, il affirme que cette édition, parue le 3 octobre 2013, fut davantage libératrice pour lui. Contrairement à celle de 2006 où il avait été un peu trop cadré par la direction artistique, il explique avoir "eu plus de liberté" et être parvenu à "revenir à l'essence des Dieux du stade en faisant ressortir le côté pin-up au masculin". Il expose ainsi la nudité de quelques grands sportifs comme Olivier Giroud, Yohan Cabaye et Rio Mavuba, tous trois joueurs de l'équipe de France de football, ainsi que celle du handballeur Nikola Karabatic ou encore du boxeur Alexis Vastine... Les 40 clichés noir et blanc et or et bleu de Fred Goudon ont été réalisés en studio et au stade Jean-Bouin dans le 16ᵉ arrondissement de Paris. Le deuxième ligne international Alexandre Flanquart a eu l'honneur d'avoir été choisi pour la couverture.

Dieux du Stade 2013 : une femme s'invite dans le calendrier

Paru le 4 octobre 2012 et orchestré par le photographe François Rousseau, le calendrier des Dieux du Stade 2013 propose 40 photos en couleurs et en noir et blanc racontant la suite de l'épopée des survivants de l'apocalypse mise en scène dans le calendrier de 2012. Une ancienne pensionnaire du Crazy Horse, Sophie Hélard, y apparaît en tenue d'Eve à la fin pour représenter une note d'espoir symbolisée par "l'allégorie de la vie". Elle pose notamment comme une Vénus sortie de l'eau avec Morgan Parra, demi de mêlée de l'ASM Clermont Auvergne, Julien Pierre, deuxième ligne de l'ASM Clermont Auvergne et Wesley Fofana, centre de l'ASM Clermont Auvergne. Deux invités de marque ont accepté de faire partie du calendrier : les footballeurs Gaël Clichy de Manchester City et Rio Mavuba de Lille, tous deux joueurs de l'équipe de France de Football.

Sébastien Torresin, 3e ligne de la Section Paloise, fait la couverture du calendrier réalisé par Max Guazzini et édité par le Stade Français. © Stade SA

Dieux du Stade 2012 : moins de vedettes, mais des jeunes rugbymen de 20 ans

François Rousseau signe les 42 clichés de l'édition 2012 parue le 29 septembre 2011 dans une ambiance "survivre à la fin du monde". Les beaux éphèbes de l'ovalie, qui essayent d'embarquer sur un bateau à destination de nouveaux horizons, sont issus du Stade Français pour la plupart, mais aussi d'autres clubs du Top 14, de Pro-D2 et de Fédérale 1. Il n'y a pas eu de grandes vedettes dénudées cette année-là, mais une nouvelle génération de jeunes joueurs, plus au moins connus, au physique avantageux. Henry Chavancy du Racing-Métro 92 en faisait partie. C'est ce qui a d'ailleurs soulevé une polémique : le président du club de Colombes, Jacky Lorenzetti, a fait savoir à travers la publication d'un billet d'humeur qu'il n'était pas content du tout de voir son poulain dans une pose aussi suggestive : "Henry aura été de toutes nos belles victoires de ces quatre dernières saisons. Sa pose dans le calendrier 2012 du Stade Français est une erreur, de jeunesse peut-être..." Le joueur aurait rejoint les rangs de son président et demandé le retrait de la photo du calendrier... en vain !

Dieux du Stade 2011 : une édition plus sage ?

Le calendrier des Dieux du Stade 2011 est sorti jeudi 30 septembre 2010. Son shooting a été confié encore une fois au photographe François Rousseau, déjà auteur du millésime 2004. Le noir et blanc est délaissé en faveur de clichés aux couleurs douces et naturelles. Les sportifs, aux muscles toujours parfaits, sont moins dénudés que les précédentes années mais exhalent tout autant de chaleur. Cette mouture 2011 a souhaité montrer des "sportifs nus [qui] ont posé avec simplicité dans des éléments proches de la nature". Parmi les rugbymen présents, on peut citer Dimitri Szarzewski (en couverture), Juan Manuel Leguizamon, Gonzalo Tiesi, Mathieu Bastareaud, James Haskell, Hugo Southwell, Pascal Papé, Mauro Bergamasco, Tom Palmer, mais aussi Maxime Mermoz de Perpignan, Alexis Palisson de Brive, Fulgence Ouedraogo de Montpellier, Joe Van Niekerk de Toulon. Côté invités, le calendrier comptait le handballeur Nicolas Karabatic, Champion Olympique et Champion du Monde, et le footballeur Adil Rami (Lille, Equipe de France).

Le calendrier des Dieux du Stade a vu le jour en 2001 grâce à Max Guazzini, l'ancien président du Stade Français de Paris. Au départ, le calendrier était exclusivement ouvert aux rugbymen, afin de changer l'image quelque peu rustre du rugby. Le calendrier a rencontré très rapidement un fort succès et s'est ainsi étendu à toutes les disciplines. Aujourd'hui, il est possible d'admirer le corps des athlètes de sports comme le football, le basketball, le judo, la gymnastique, le surf ou encore la course automobile. Depuis près de 4 ans, ces sportifs mâles se sont offert le malin plaisir de se dénuder sous la direction du photographe Fred Goudon, au profit d'associations caritatives. Les séances photo de ce calendrier se veulent toujours sensuelles et glamour.