Roger Federer à Roland Garros

Roger Federer n'a remporté Roland Garros qu'au bout de sa 4e finale. © L'Internaute Magazine / Cécile Debise

Triple vainqueur de l'Open d'Australie, quadruple lauréat de l'US Open, quintuple roi de Wimbledon... Au moment de débuter sa saison 2009, Roger Federer compte déjà 12 levées de Grand Chelem à son actif. Pourtant, une ombre ternit ce brillant palmarès. Ou plutôt, une bête noire. Son nom ? Rafael Nadal, bien sûr, qui ne lui a jamais permis de remporter le tournoi de Roland Garros.

2006, 2007 et 2008 : trois finales Federer-Nadal, autant de triomphes pour l'Espagnol, maître incontesté de la terre battue. Lors des deux premières, le Suisse parvient seulement à prendre un set à son adversaire. En revanche, il passe totalement au travers de la troisième finale, subissant un singlant 6-1, 6-3, 6-0 après 1h48 de jeu.

Merci qui ? Merci Söderling !

Roger Federer a eu le mérite de se qualifier une nouvelle fois en finale de Roland Garros, en 2009. Mais pour s'offrir son premier titre parisien, le Suisse a bénéficié de l'élimination prématurée de son meilleur ennemi en 8e de finale. Le bourreau de Nadal, Robin Söderling, a ensuite réussi un sans-faute pour se hisser en finale. Là, il a fait un peu mieux que de la figuration mais s'est tout de même incliné en trois sets (6-1, 7-6, 6-4) face au Suisse.

Triple vainqueur de l'Open d'Australie, quadruple lauréat de l'US Open, quintuple roi de Wimbledon... Au moment de débuter sa saison 2009, Roger Federer compte déjà 12 levées de Grand Chelem à son actif. Pourtant, une ombre ternit ce brillant palmarès. Ou plutôt, une bête noire. Son nom ? Rafael Nadal, bien sûr, qui ne lui a jamais permis de remporter le tournoi de Roland Garros. 2006, 2007 et 2008 : trois finales Federer-Nadal, autant de triomphes pour l'Espagnol, maître incontesté de la terre battue. Lors des deux premières, le Suisse parvient seulement à prendre un set à son adversaire. En revanche, il passe totalement au travers de la troisième finale, subissant un singlant 6-1, 6-3, 6-0 après 1h48 de jeu.Merci qui ? Merci Söderling ! Roger Federer a eu le mérite de se qualifier une nouvelle fois en finale de Roland Garros, en 2009. Mais pour s'offrir son premier titre parisien, le Suisse a bénéficié de l'élimination prématurée de son meilleur ennemi en 8e de finale. Le bourreau de Nadal, Robin Söderling, a ensuite réussi un sans-faute pour se hisser en finale. Là, il a fait un peu mieux que de la figuration mais s'est tout de même incliné en trois sets (6-1, 7-6, 6-4) face au Suisse.
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