L'Oule Rouge

Accueil pas agréable du tout et rapport qualité prix décevant. Nous étions une tablée de 14 et un plat sur 2 était a la hauteur. Magret canard trop cuit et cordon bleu grossier et étouffant. Un plus le gratin dauphinois et l'agneau de 24 h.

Une table incontournable dans la region, autant par la qualite de l'accueil que par la qualite des plats sans oublier le remarquable agneau cuit en 24 heures d'une saveur remarquable le tout pour un prix tres competitif (70? a 2 avec aperitif et vin). A conseiller.

Toujours un régal, la carte quelque peu changé mais reste savoureuse, à ne pas manquer : l'épaule d'agneau aux herbes, savoureuse et fondante. La terrine de lapin aux pistaches vaut également le détour.

Alain signe le renouveau de l'oule rouge dans un cadre exceptionnel depuis début juillet 2010, pour ceux qui ont connu : avant rien à voir. Des plats classiques mais succulents comme le tournedos rossini et les magrets rossini côtoient une cuisine plus locale à base de fondues, tartiflettes et reblochonnades. Des plats subtilement travaillés où l'on sent que le chef se fait plaisir et nous fait plaisir. L'agneau aux thym et miel est un régal, et on finit par loucher avec envie sur ceux qui ont préféré le lapin ou le cochon de lait. Une tarte aux myrtilles excellente. Si l'on y ajoute un emplacement exceptionnel en hiver comme en été, en y ajoutant un décor sympathique, on peut supposer qu'au-delà de cette première saison le résultat sera encore plus convaincant. Le service en salle est souriant, assuré en famille par la soeur d'alain très à son aise dans ce rôle parfois ingrat. Ps : n'hésitez pas à réserver, il va vite devenir difficile d'y avoir une table.