Fabrègues (34690), Hérault

je serais curieux de savoir si Fabrègues a décidé d'être candidate à la commune qui pue le plus en France ? si oui c'est bien parti car pour un mois d’août c'est je pense un record !

Joli petit village pratique : Les habitants de plus de 30 ans sont polis, courtois en général. Ce que j'aime à Fabrègues : Les commodités, les groupes scolaires, la médiathèque, les commerçants. Ce que je n'aime pas à Fabrègues : La circulation ! Ici je ne l'appellerai pas ainsi ! Je la nommerai "l'épée d'amoclès". Ils attendent qu'il y ait un mort avant de vouloir comprendre qu'ils ne savent pas conduire mais nuire et qu'ils confondent la limitation de vitesse de l'autoroute avec celle de l'agglomération !

Une vrai vie de village aux portes de Montpellier : Récemment installé dans ce village, nous apprécions chaque jour l'accueil des habitants mais aussi le fait de pouvoir y trouver pratiquement tout ce qui est nécessaire. Ce que j'aime à Fabrègues : - La vie associative, les installations sportives et les infrastructures, notamment pistes cyclables- Le calme de la campagne, la proximité de la mer et de la ville - Le niveau d'imposition et le nombre de commerces. Ce que je n'aime pas à Fabrègues : - Le réseau routier et les transports en commun- L'absence de piscine municipale - l'urbanisation - Le projet sita.

Mentalité déplorable : La mentalité du Fabréguois est déplorable, à la limite de la méchanceté, méprisant, et indifférent, pas de geste pour accueillir de nouveaux arrivants. Ce que j'aime à Fabrègues : L'environnement est assez joli, beaucoup de verdure, la mer assez proche. Ce que je n'aime pas à Fabrègues : La venue d'une décharge, la difficulté à se déplacer en voiture sur Montpellier (trop de circulation).

Ce que j'aime à Fabrègues : Les équipements sportifs, les associations qui proposent des activités variées pouvant intéresser un maximum de personnes. Le choix entre école privée et école publique, le calme. Ce que je n'aime pas à Fabrègues : La pesante proximité de Montpellier, même si j'y travaille. Le manque d'espaces verts, de campagne. La trop grande valorisation de notre région par rapport à Montpellier qui fait grimper les prix.