La Popote

Compliment a ce restaurant pour ces produits frais cuisiné avec talent par son chef. Attente normal entre les plats et service impeccable et serveuse simpa pour un prix correct .J e reviendrais bientot et le recommande vivement.

D'un menu annoncé a 12 euros je me retrouve a en payer 26. On me propose un apéritif que je croyais prévu au menu,et l'on se garde bien de me dire qu'il y a un supplément, résultat 6,50 euros de plus.Il était prévu un méchoui, mes amis et moi nous attendions donc a du mouton cuit a la broche, il n'en était rien. Concernant le café, j'ai failli m'étrangler car celui-ci était facturé 2,90 euros. Je ne parle même pas du petit vin servi a table et facturé 15 euros. Pour ma part, ni moi, ni mon compagnon ne remettrons les pieds dans ce restaurant, car la première fois avait déjà été très décevante. A noter que bien qu'ayant tous mangé et bu la même chose, nous avons tous payé des sommes différentes. Cherchez l'erreur.

Passage "obligé" lorsque je me rends à Troyes. Cette maison de caractère était l'ancienne propriété du fondateur de la marque "Doré Doré". Elle conserve le charme suranné des maisons de famille. Une invitation au calme d'autant que la musique d'ambiance est toujours bien choisie. Accueil et service chaleureux et attentif. Outre la carte, il y a 4 formules. Le menu Tentation (27,95) est excellent. Le repas débute toujours par une mise en bouche originale quel que soit le menu choisi. Le coulibiac en entrée était succulent : saumon fondant et pâte feuilletée croustillante. Rien à redire non plus sur nos plats : truite aux amandes revisitée et filet mignon ; tous deux accompagnés de leurs petits légumes fondants et de saison. Le moelleux au chocolat et la crème à la pistache ont clos cet excellent diner. La carte des vins est raisonnable. Je conseille vivement cette "Popote".

Le cadre est plutôt agréable. L'accueil est correct on peut donc penser un agréable moment, mais... Le service est plus que long, mais les serveuses n'ont pas l'air de s'en rendre compte. Comptez minimum 2h30 pour dîner, un soir où le restaurant est à peine à moitié rempli. Lorsque vous ne trouvez pas un bout d'alu provenant d'une boîte de conserve dans votre dessert, vous aurez le plaisir de vous voir servir une crème non pas brûlée, l'innovation résonnant dans le cœur du chef, ce sera une crème carbonisée. Le dessus est immangeable tant par l'odeur de brûlé que par la dureté de cette couche. Mais le chef s'en amuse : " vous n'aviez qu'à prendre une crème vanille" J'ai mangé de bien meilleurs crèmes brûlées, dans des cafétérias. Sans parler de l'affiche disposée à la caisse où la direction utilisé des motifs politiques pour augmenter ses prix... C'était la seconde, ce fut la dernière fois également.