24e : Brest (Finistère)
Comme d'autres villes bretonnes (Quimper, Vannes...), Brest affiche des scores élevés en matière de radioactivité. Là aussi, difficile de connaître l'explication : d'un côté, cette radioactivité est naturelle dans cette région découpée de lourds reliefs de granits. Mais d'un autre côté, plusieurs sites nucléaires (en rouge sur la carte) pourraient faire grimper les dosimètres à la moyenne de 125,61 nanosieverts par heure sur la période allant du 1e janvier 2013 au 31 mars 2014. L'ancienne centrale en cours de démantèlement de Brennilis n'est située qu'à une cinquantaine de kilomètres. Plus près encore, dans la rade, la base de l'Île longue accueille des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins.
Débit de dose gamma moyen dans l'air ambiant : 125,61 nanosieverts par heure (point de prélèvement 131 de l'IRSN)