Des drones iraniens en renfort pour la Russie

© UAF
Malgré une flotte de 1500 à 2000 drones, la Russie, n'est pourtant pas le pays le plus avancé en la matière, loin de là, surtout pour ce qui est des drones armés. Alors, outre ses Orion-E qui sont utilisés bien plus timidement que les TB-2 Bayraktar ukrainien, le Kremlin a cherché à s'équiper chez l'un de ses rares alliés, l'Iran. Le pays aurait donc acheté cet été une centaine de drones Mohajer 6, Shahed 129, Shahed 191 ainsi que des drones suicides Shahed 136. Des morceaux de ce dernier ont été trouvé sur le terrain en Ukraine dans la région de Koupiansk, ce qui prouve bien que les drones sont déjà utilisés par l'armée russe. Or, selon les renseignements américains, il semble que les militaires russes aient connus de nombreux déboires lorsqu'ils ont testé les drones iraniens, avec des bugs et des dysfonctionnements dont on ne sait pas grand chose.
 
Malgré une flotte de 1500 à 2000 drones, la Russie, n'est pourtant pas le pays le plus avancé en la matière, loin de là, surtout pour ce qui est des drones armés. Alors, outre ses Orion-E qui sont utilisés bien plus timidement que les TB-2 Bayraktar ukrainien, le Kremlin a cherché à s'équiper chez l'un de ses rares alliés, l'Iran. Le pays aurait donc acheté cet été une centaine de drones Mohajer 6, Shahed 129, Shahed 191 ainsi que des drones suicides Shahed 136. Des morceaux de ce dernier ont été trouvé sur le terrain en Ukraine dans la région de Koupiansk, ce qui prouve bien que les drones sont déjà utilisés par l'armée russe. Or, selon les renseignements américains, il semble que les militaires russes aient connus de nombreux déboires lorsqu'ils ont testé les drones iraniens, avec des bugs et des dysfonctionnements dont on ne sait pas grand chose.  
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