La possibilité du viol évoquée

Maître Gilles-Jean Portejoie, avocat des parties civiles, ici photographié au tribunal correctionnel de la cité judiciaire de Nancy, en 2007. © JEAN CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP

Dans son réquisitoire, l'avocat principal des parties civiles a accusé Jonathann Daval d'avoir violé son épouse Alexia, alors qu'aucune trace de violences sexuelles n'a été mise en évidence par l'examen médico-légal. "Je vais vous dire ce que je pense : il y a eu une relation sexuelle après la mort d'Alexia !", a lancé maître Gilles-Jean Portejoie, rappelant l'existence de traces de sperme appartenant à Jonathann Daval ayant été retrouvées dans le corps, et sur la culotte et le short de la victime. Une déclaration provoquant l'ire de la défense de l'accusé. "En trois ans d'instruction, aucune demande d'investigation n'a jamais été faite sur un possible viol ante ou post mortem. On ne peut pas laisser dire n'importe quoi !", s'est insurgé Me Schwerdorffer, l'avocat de Jonathann Daval.

Dans son réquisitoire, l'avocat principal des parties civiles a accusé Jonathann Daval d'avoir violé son épouse Alexia, alors qu'aucune trace de violences sexuelles n'a été mise en évidence par l'examen médico-légal. "Je vais vous dire ce que je pense : il y a eu une relation sexuelle après la mort d'Alexia !", a lancé maître Gilles-Jean Portejoie, rappelant l'existence de traces de sperme appartenant à Jonathann Daval ayant été retrouvées dans le corps, et sur la culotte et le short de la victime. Une déclaration provoquant l'ire de la défense de l'accusé. "En trois ans d'instruction, aucune demande d'investigation n'a jamais été faite sur un possible viol ante ou post mortem. On ne peut pas laisser dire n'importe quoi !", s'est insurgé Me Schwerdorffer, l'avocat de Jonathann Daval.
© JEAN CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP