Valérie Trierweiler : "Je ne veux pas rester seule jusqu’à la fin de mes jours"

Valérie Trierweiler : "Je ne veux pas rester seule jusqu’à la fin de mes jours" François Hollande, son ressentiment, son état d’esprit…. Valérie Trierweiler n’en a pas tout à fait fini avec le président de la République et elle le fait savoir. Dans une interview à Femme Actuelle à paraître samedi, la journaliste se livre une nouvelle fois sur sa relation.

[Mis à jour le 15 juillet 2015 à 11h55] On pensait que Valérie Trierweiler avait déjà tout dit dans "Merci pour ce moment",  320 pages de confessions de celle qui a partagé la vie de François Hollande. Mais apparemment, non. Dans une interview accordée à Femme Actuelle à paraître samedi, elle affirme qu’"avec le recul", elle "en aurai[t] sans doute dis plus". Alors, l’ex-first girlfriend se rattrape dans les colonnes du magazine et même en vidéo sur le site internet. Première cible : François Hollande bien sûr. "Je ne lui ai pas encore pardonné", dit-elle. Et on s’en rend bien compte en l’écoutant. "Il y a des traits d’humour qu’on ne fait pas", affirme-t-elle, catégorique, à propos de la fameuse formule des "sans-dents". Valérie Trierweiler s’attaque là à l’une des qualités que l’on peut reconnaître à François Hollande, son sens de la dérision. "Et moi sans doute, c’est des traits d’humour qui m’ont blessée à chaque fois".

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Valérie Trierweiler touche ensuite au point le plus crucial : la candidature de François Hollande pour 2017. "Ca dépend qui est candidat", commence-t-elle. "Une partie des idées de Jean-Luc Mélenchon m’intéresse. Je suis de gauche et je le reste, mais j’aimerais que la politique soit plus à gauche". Et si l’on n’avait pas encore compris qu’elle en voulait toujours au chef de l’Etat, elle ajoute, non sans amertume : "On lui a appris tout au long de sa vie qu’il était le meilleur". D’ailleurs est-elle toujours en contact avec lui ? Valérie Trierweiler refuse de répondre à la question des journalistes de Femme Actuelle.

Dans cette interview, elle se confie aussi sur ses craintes. "J’ai peur que l’on continue à mal me juger. A me prendre pour ce que je ne suis pas", explique-t-elle. "Ce que je crains aussi - et je m’aperçois que c’est encore le cas - c’est de rester perçue uniquement comme l’ex de François Hollande", avoue-t-elle. "Je veux qu’on me laisse la chance de vivre ma vie".

Il semble, en effet, que Valérie Trierweiler soit prête à aller de l’avant. "Honnêtement, ça va très bien", dit-elle. "Tous ces événements commencent à être derrière moi, même si ça se télescope avec la sortie du livre en poche". "J'ai appris à faire la différence entre une épreuve et un drame. Ce n'était pas un drame", va-t-elle jusqu'à avouer. Le moment peut-être de retrouver l’amour... "Je ne veux pas rester seule jusqu’à la fin de mes jours", est-elle sûre. Mais de là à pouvoir aimer autant que ce qu’elle a aimé François Hollande : "Je ne sais pas, je ne veux pas décourager le prochain !"

Malgré cette interview fleuve, Valérie Trierweiler n'en a pas fini. L'adaptation en film de son livre "Merci pour ce moment" par son amie Saïda Jawad est toujours d'actualité. "Le projet existe mais est en standby", affirme-t-elle. "Dès le début, Saïda et moi avions dans l'idée de le démarrer après 2017 pour ne pas interférer avec la campagne présidentielle". Suite au prochain épisode...