Pour Léna Lutaud, la grand reporter du Figaro qui a enquêté sur les coulisses de la famille Hallyday et épluché les documents déposés auprès du tribunal de commerce de Paris, "on voit bien que la PME Mamour [le surnom que donnait Laeticia à Johnny] n'était pas 'vide' mais a été 'vidée' fin 2013". Un processus effectué selon la journaliste à un timing bien particulier, "au même moment que la création des trusts de Johnny et de Laeticia en Amérique grâce à une distribution de dividendes de 5,5 millions d'euros". Ces millions se sont évaporés mais où ? La question reste entière et ces sommes monumentales font partie, rappelle l'auteure, "des actifs actuellement recherchés dans le monde entier".
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