La rumeur récurrente d'un fils en prison

© Capture d'écran Twitter
La rumeur d'un "fils de Christiane Taubira en prison" ne date pas d'hier. Elle est née en 2013, avec la propagation virale d'une lettre adressée à la garde des Sceaux et signée par une certaine Edith Besançon, "la mère du jeune que [son] fils a assassiné cruellement dans la station service où il travaillait de nuit pour pouvoir payer ses études et aider sa famille". Adresse et numéro de téléphone sont fournis à l'appui. Le hic ? Si Edith Besançon existe, aucun de ses fils n'a été tué. La lettre, dont la première version serait brésilienne, circule à l'international dans diverses langues. En France, elle a causé des rumeurs en chaîne (cf. photo). D'après l'autobiographie de l'ex-ministre de la Justice, un fils de Christiane Taubira a bien été inquiété par la justice, mais pour des délits tels le "non-port du casque" en scooter ou complicité de vol … mais pas de meurtre. 
La rumeur d'un "fils de Christiane Taubira en prison" ne date pas d'hier. Elle est née en 2013, avec la propagation virale d'une lettre adressée à la garde des Sceaux et signée par une certaine Edith Besançon, "la mère du jeune que [son] fils a assassiné cruellement dans la station service où il travaillait de nuit pour pouvoir payer ses études et aider sa famille". Adresse et numéro de téléphone sont fournis à l'appui. Le hic ? Si Edith Besançon existe, aucun de ses fils n'a été tué. La lettre, dont la première version serait brésilienne, circule à l'international dans diverses langues. En France, elle a causé des rumeurs en chaîne (cf. photo). D'après l'autobiographie de l'ex-ministre de la Justice, un fils de Christiane Taubira a bien été inquiété par la justice, mais pour des délits tels le "non-port du casque" en scooter ou complicité de vol … mais pas de meurtre. 
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