Sa "vestale" enlevée par un biographe

Pierrette Le Pen au Manoir de Montretout à Saint Cloud, en juin 1984. © CHANCE / SIPA
"Mon biographe restait à la maison à écrire ou poser des questions à mes proches les jours où je m'en allais en tournée. Il aimait bien le foyer Le Pen, tant et si bien qu'il en enleva la vestale", se souvient Jean-Marie le Pen dans "Tribun du peuple" (extrait publié par Le Point). Puis, un jour d'automne [le 10 octobre 1984, ndlr], leurs filles ont trouvé la maison vide à leur retour de l'école", raconte-t-il.  Leur mère Pierrette avait "raflé ses affaires en vitesse et sa voiture sans avertir personne". Sans un mot d'explication, précise celui qui était alors en déplacement à Strasbourg et a découvert, à son retour, "une famille ravagée".
"Mon biographe restait à la maison à écrire ou poser des questions à mes proches les jours où je m'en allais en tournée. Il aimait bien le foyer Le Pen, tant et si bien qu'il en enleva la vestale", se souvient Jean-Marie le Pen dans "Tribun du peuple" (extrait publié par Le Point). Puis, un jour d'automne [le 10 octobre 1984, ndlr], leurs filles ont trouvé la maison vide à leur retour de l'école", raconte-t-il.  Leur mère Pierrette avait "raflé ses affaires en vitesse et sa voiture sans avertir personne". Sans un mot d'explication, précise celui qui était alors en déplacement à Strasbourg et a découvert, à son retour, "une famille ravagée".
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