"Marcilly [le nom du biographe avec lequel est partie son épouse, ndlr] est arrivé pour la cinquantaine, l'âge où les femmes se posent d'autant plus de questions qu'elles ont été belles et courtisées. A l'époque, la majorité d'entre elles n'avait pas de métier. Seules, elles se retrouvaient sans rien. C'est ce qui est arrivé à Pierrette quand, le parfait amour filé et les appartements croqués, elle fut abandonnée de son séducteur. Elle a connu la dèche", balance Jean-Marie Le Pen dans le dernier tome de ses mémoires, au moment d'évoquer la manière dont les frasques de son ex-épouse se sont achevées. Il pense qu'elle a été séduite par un homme qui la rendait heureuse en lui répétant qu'elle était exceptionnelle mais dans l'ombre de son mari. Aujourd'hui, l'ex-époux quitté assure qu'il lui a pardonné, que ce n'est "pas une mauvaise femme". Et d'ajouter : "C'est la mère de mes enfants, c'est une amie que je revois avec plaisir".
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